🎾 C Est L Histoire D Un Mec Texte
Lhistoire d'un mec, c'est d'abord l'histoire, à la périphérie de Paris, d'un enfant malmené. Orphelin d'un père italien, « fils de veuve » dans l'après-guerre, Michel Colucci comprend vite que la capitale comme la réussite se conquièrent au pas de charge. « En baisant le système », dira-t-il. Il a de l'insolence à revendre et il est drôle : il choisit le café-théâtre, puis
5messages pour faire sourire un mec. Voici des idées de texto pour faire sourire un mec, peu importe si c’est ton petit copain ou juste un ami, le plus important c’est de garder le sourire tout au long de chaque journée, le matin, le midi et le soir. Inspire toi de nos mots pour créer ton propre texte qui fait sourire ! Salut toi ! Je n
Lessolutions pour C'EST L'HISTOIRE D'UN MEC, PERSONNAGE DE ROMAN FIER DE LUI, QUI DEVIENT UN BAR-TABAC de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles. Wordle Mots Croisés Générateur d'Anagrammes Crée des mots avec les lettres que tu as à ta disposition Répondre Classement. Codycross;
CEST l'histoire D'UN MEC. 108 J’aime. Personnage fictif
Jeme souviens d’un marin avec une énorme bite, un matin très tôt sur le port de Nice. Je me souviens m’être fait draguer par deux mecs en boîte (qui ne se connaissaient pas) et d’avoir terminé la nuit à trois. Je retrouve un amant après deux ans sans se voir. On passe la soirée avec des amis, on se chauffe discrètement, on
Lejour J arrive. Et il s’est fait une promesse. Ne pas repartir de ce cafĂ© sans tout lui dire. Tout lui avouer. C’est l’heure. La voilĂ souriante. Contente de le voir. Si elle savait comme c’est rĂ©ciproque Ils parlent de tout et de rien. Et lĂ il l’interrompt. Il prend enfin son courage Ă
Cecin’est pas une fiction, mais j’ai dû modifier les prénoms des personnages pour des raisons évidentes. Il y a quelques jours, j’étais en train d’apprêter mes filles pour l’école lorsque j’ai entendu des éclats de voix. Mon petit frère se disputait avec l’un de ses meilleurs amis, Sébastien, le voisin d’en face. Je leur ai demandé ce qui se passait, croyant qu’il
Aveclui c'est toujours l'aventure, ainsi à peine arrivé à minuit à l'aéroport, la Compagnie aérienne ayant perdu son fauteuil roulant, refusait de nous en prêter un autre. Il a donc fallu accomplir trois heures de négociations pour pouvoir en obtenir un, heureusement Antoine est le pro des scandales, et il a largement su tourner la situation en notre faveur.
Cest l’histoire d’un mec L’épopée d’un clown transgressif, fauché par l’insidieuse destinée d’une incroyable passion pour la moto, chevillée au corps.
cZPf. Télécharger l'article Télécharger l'article Le cadre d'une histoire est l'environnement dans lequel évoluent les personnages. Le lieu, l'époque et le temps jouent tous un rôle important dans une histoire et un cadre bien décrit aidera les lecteurs à se plonger dans le monde fictionnel que vous avez créé. Pour décrire un cadre, utilisez un langage détaillé et faites interagir les personnages avec leur environnement, afin d'attirer les lecteurs. Ainsi, votre histoire prendra vie ! 1 Incorporez les 5 sens à votre description. En faisant référence au toucher, au gout, à la vue, au son et à l'odorat, vous apporterez à votre description des détails qui aideront les lecteurs à se mettre à la place des personnages. Pensez au cadre que vous imaginez et listez tous les détails sensoriels que vivent vos personnages dans ce lieu [1] . Par exemple, si la scène se déroule à la plage, décrivez la sensation du sable entre les orteils du personnage, le gout du sel dans l'air, le son des vagues, l'odeur saumâtre de l'eau et la forme des dunes. 2 Visitez un lieu similaire à celui que vous voulez décrire. Si votre histoire se passe dans un lieu qui existe réellement, essayez de vous y rendre, afin de remarquer des détails précis. Emportez un petit carnet et un crayon et notez toutes vos expériences. Incorporez ces détails à votre histoire, afin de la rendre plus authentique. Si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, recherchez sur Internet des récits de ce lieu écrits par d'autres gens. Puisez les détails de leur vécu, mais veillez à ne pas plagier leurs écrits. 3 Inspirez-vous de photos de lieux similaires. Si vous avez du mal à imaginer votre cadre, recherchez sur Internet des photos de lieux similaires. Remarquez de petits détails dans les images et incluez-les à votre propre histoire. Enregistrez l'image et notez quelques-uns des éléments que vous avez remarqués, afin de ne pas les oublier [2] . Si vous décrivez un lieu qui existe vraiment, utilisez Google Street View pour jeter un œil à l'endroit et repérez des détails encore plus spécifiques. Si votre histoire se déroule dans un univers imaginaire, consultez des sites comme Artstation et Pintereset. Vous y trouverez des sources d'inspiration visuelles de ce à quoi pourrait ressembler votre cadre. Pour vous approprier le lieu, mélangez des détails réels à des détails inventés par vos soins. 4 Incluez des indices de l'époque à laquelle se déroule l'histoire. Si l'histoire que vous écrivez se déroule dans le passé, renseignez-vous sur des évènements qui se sont tenus dans ce lieu et incorporez-les à votre histoire. Essayez d'incorporer au moins 1 ou 2 références indiquant l'époque, que ce soit en parlant des technologies de ce temps, des vêtements ou de la culture. Ainsi, vos lecteurs pourront s'immerger pleinement dans l'histoire [3] . Par exemple, si vous écrivez une histoire qui se déroule peu de temps après la Seconde Guerre Mondiale, vous pourriez dire les avions avaient déchiré la ville, laissant derrière eux des ruines fumantes là où se trouvaient autrefois des maisons », pour décrire l'impact de la guerre sur le paysage urbain. Publicité 1 Choisissez 3 ou 4 détails principaux qui donneront l'atmosphère du lieu. Face à de trop nombreux détails, le lecteur pourrait se sentir dépassé. Ceux-ci pourraient aussi ralentir le déroulement de l'histoire. Choisissez quelques détails principaux, avec lesquels le personnage interagira et incorporez-les à votre récit [4] . Par exemple, si vous décrivez une maison abandonnée, vous pourriez vous concentrer sur le papier peint qui se décolle des murs, les escaliers cassés menant à l'étage et les planches pourries couvrant les fenêtres. 2 Disséminez les détails dans le récit. Évitez de rédiger un paragraphe entier décrivant le cadre. Si aucune action ne se produit, le lecteur risquera de sauter le paragraphe. Mentionnez plutôt quelques détails au début du paragraphe, avant d'enchainer sur les actions du personnage. Si vous avez besoin de plus de détails dans ce passage, incluez-les alors à la fin de celui-ci [5] . Par exemple, pour parler d'une maison abandonnée, vous pourriez écrire j'essayais de regarder par les fenêtres, mais les planches pourries m'empêchaient de voir quoi que ce soit. Je poussais la porte et elle s'ouvrit brusquement, avec le grincement puissant des gonds rouillés. Alors que j'entrais, je promenais mes doigts sur le papier peint, qui se décollait du mur. » Ainsi, les détails sont communiqués au cours du paragraphe entier, sans freiner le déroulement de l'action. 3 Utilisez des métaphores et des comparaisons. La description d'un cadre exprime généralement ce que vit le personnage. Recourir au langage figuré pourrait cependant aider les lecteurs à faire plus facilement les liens. Comparez un élément du cadre à quelque chose d'autre, afin de donner le ton [6] . Par exemple, vous pourriez écrire quelque chose comme les fils couvraient le sol de la cave, comme des plantes rampantes cherchant à me prendre au piège ». Vous décrirez ainsi la densité des fils électriques dans cette pièce. Un exemple de description figurative. De petites flammes retombèrent sur le tronc d'un arbre et rampèrent jusque dans les feuilles et les broussailles, toujours plus nombreuses et plus grandes. Une flamme toucha le tronc de l'arbre et grimpa le long de celui-ci, comme un écureuil de feu. La fumée s'intensifiait et se répandait toujours plus loin. L'écureuil bondit sur les ailes du vent et se balança jusqu'à l'arbre voisin, commençant à le dévorer. William Golding, Sa Majesté des mouches Publicité 1 Évitez de décrire trop précisément un cadre sans intérêt pour les personnages. Les décors d'arrière-plan sont sans importance pour l'histoire. Ne les décrivez donc pas trop précisément. En revanche, certains éléments auront un impact sur la façon dont les personnages réagissent et répondent à leur environnement. Consacrez davantage de temps et d'énergie aux descriptions ayant une importance pour les personnages [7] . Par exemple, si votre personnage marche dans la rue et parle avec un ami, il ne sera pas important de décrire très précisément le cadre. En revanche, si votre histoire traite d'un accident de voiture, vous pourriez décrire le feu de signalisation défectueux ou le panneau de stop qui avait été volé. La plupart des détails descriptifs, sinon tous, devront avoir une importance quelconque pour les personnages. 2 Décrivez la façon dont le personnage interagit avec l'environnement. Faites vivre le cadre. Expliquez la façon dont le personnage évolue dans son cadre, en incluant de petits détails. Cela rendra votre histoire plus intéressante et plus captivante pour vos lecteurs [8] . Par exemple, au lieu d'écrire une buche était devant elle. Elle trébucha dessus », écrivez plutôt alors qu'elle gambadait sur le sentier sombre de la forêt, son pied se prit dans une buche et elle tomba dans les hautes herbes. » 3 Parlez de l'impact d'un changement de l'environnement sur vos personnages. Le cadre fera naitre différentes émotions chez le personnage. Laissez la météo et l'heure de la journée se faire sentir dans l'humeur des personnages ou modifiez soudainement un aspect du cadre et décrivez l'impact de ce changement sur l'humeur du personnage [9] . Par exemple, si un personnage est triste, vous pourriez écrire alors qu'elle essuyait les larmes qui coulaient sur ses joues, le soleil disparut et les gouttes de pluie commencèrent à tomber sur les pavés. Une bourrasque de vent froid la frappa de plein fouet. » 4 Exprimez les émotions du personnage ou le thème de l'histoire grâce au cadre. Au sein de l'histoire, le thème et le cadre sont intimement liés. Assurez-vous qu'ils demeurent en relation. Pensez au thème de votre histoire et intégrez au cadre des détails précis qui rappelleront le thème [10] . Par exemple, si votre histoire traite d'une personne apprenant à en aimer une autre, vous pourriez faire évoluer le cadre en passant de l'hiver à l'été, afin de transmettre le message que les relations entre les deux personnages se réchauffent. Exemple d'un cadre exprimant une émotion. Les eaux vertes et profondes de la rivière étaient calmes en cette fin d'après-midi. Le soleil avait déjà quitté la vallée pour remonter les pentes des montagnes et les sommets des collines étaient rosis par le soleil. Mais au bord de l'eau, au milieu des sycomores tachetés, régnait une ombre agréable. » Dans cet extrait de la fin du livre Des souris et des hommes de John Steinbeck, le bord de la rivière est un endroit réconfortant pour Lennie. Publicité Conseils Il n'y a pas de règles immuables en matière d'écriture. Rendez votre histoire unique et écrivez-la comme vous le voulez. Ayez un petit carnet dans lequel vous décrirez les lieux que vous visitez ou que vous voyez à la télévision, pour vous entrainer à écrire [11] . Publicité Avertissements Veillez à ne pas décrire trop précisément chaque détail ou l'histoire sera trop dense et vos lecteurs s'ennuieront. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 20 855 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
- Bonjour Doc…Mes paroles se sont dissipées en plein vol. Ce n’était pas le Docteur LEGENDRE qui venait de m’ouvrir la porte. C’était… C’était ce jeune gars qui… Que j’avais vu…C’était il y a deux jours. J’étais en manque. En manque grave. Un impérieux besoin ; un besoin de sexe mâle ; devant moi ; contre moi ; en moi … Depuis dix jours en vacances en famille, je n’avais pas trouvé de garçon avec qui jouer intimement. A croire qu’ils sont tous hétéros par ici. Mes potes de sexe étaient bien loin d’ici. Et moi je n’en pouvais plus…Alors j’ai fait ce que j’avais toujours trouvé glauque et nul j’ai surfé sur le net pour trouver les lieux de rencontre gay de la région. Trouver un mec avec qui tirer un coup. Peu importe qui. Pourvu qu’il soit bien monté et qu’il me fasse bien repéré un lieu, à quelques kilomètres de là . J’ai hésité encore 24h. Et puis en fin de journée j’ai pris la voiture et y suis allé. Un parking isolé en bordure de forêt. Deux ou trois voitures déjà garées. Que des mecs seuls dedans. Des mecs au regard voiture familiale s’est garée. Un couple et deux enfants en sont sortis. Le père a ouvert le coffre et en a sorti des paires de bottes. Le temps qu’ils se mettent en tenue, une vieille clio s’est garée. Un jeune gars en est sorti. Un beau mec, brun, athlétique, souriant. Tout comme je les aime. Tous les regards des hommes dans les voitures se sont tournés vers lui. Nous étions quatre à le mater telle une proie sur laquelle nous allions j’ai hésité trop de monde. Et puis cette famille… Un premier mec est sorti de sa voiture et est allé discuter avec lui. L’échange n’a pas duré deux minutes. Aux signes de tête du jeune gars, j’ai compris qu’il n’était pas intéressé. Logique, l’autre avait plus de quarante ans, un ventre proéminent, un visage peu avenant. Acceptant sa défaite, il est retourné dans sa posé ma main sur la portière. Trop lent. Un autre type est sorti de sa voiture et est allé vers lui. La trentaine, plutôt bien foutu malgré sa calvitie. La mère de famille les a regardés d’un air agressif avant de s’éloigner avec sa marmaille et son homme. Ils ont discuté un moment. Quand ma cible a éclaté de rire, j’ai compris que c’était mort pour se sont effectivement éloignés joyeusement vers les bois les plus touffus. En passant non loin de mon auto, il m’a regardé succinctement à travers le parebrise, a hoché la tête et a souri. Et moi je me suis traité de con, de nul, de médiocre abruti avec ma queue tendue et raide dans mon pantalon sans caleçon. Je venais de rater une belle occasion…Le gros mec s’est dirigé vers ma voiture. Il s’est campé devant la fenêtre du conducteur et m’a regardé. J’ai tourné la tête vers lui, l’air impassible. Il m’a demandé tu veux ? ». Je n’ai pas répondu. Alors il a dégrafé son pantalon et m’a présenté une teub d’une très belle taille, bandée à bloc. Il a topé contre la vitre. Pris de panique, je l’ai baissée Tu veux me sucer ? Elle est belle et bonne, tu sais ! Et puis après je te suce à mon tour… Je suis sûr que tu en as très envie !- Je… Non… Non merci… C’est gentil mais… Non…- Et ben mon gars, tu ne sais pas ce que tu veux, toi. Je t’offre une magnifique queue et tu refuses le cadeau ? Allons, laisse-toi aller… Si tu veux c’est moi qui commence à te sucer… J’ai une bouche magique et gourmande, tu sais…L’homme a insisté encore un petit moment. J’ai remonté ma fenêtre. Je n’ai pas bronché. Alors, en donnant un coup de poing énervé contre la portière, il s’est éloigné dans la forêt d’un pas suis resté comme pétrifié un moment, me rendant compte que je venais d’échapper à un truc nul et potentiellement violent. Qu’est-ce que je faisais là ? Moi, un jeune gars, prêt à me faire mettre par des vieux vicelards excités… N’importe quoi…Un autre mec, plutôt la cinquantaine, mais visiblement sportif, lui, s’est approché. Il s’est mis à me parler sans me demander de baisser ma fenêtre ou d’ouvrir une Tu as bien fait de refuser. C’est un gros cochon qui ne maîtrise pas ses pulsions… Je sais de quoi je parle j’ai donné une fois ! Un bon coup, néanmoins… Mais tu es trop jeune, tu ne devrais pas trainer par ici…Je l’ai regardé, curieux de comprendre ce que ce type qui avait les mêmes pulsions que moi allait faire. Il a poursuivi son propos sur le même thème ce parking c’est fait pour les vieux comme lui, pas pour les jeunes comme regard franc, son air civilisé contrastant avec l’autre bête en rut, je suis sorti de ma voiture. Adossé contre ma portière, j’ai un peu C’est vrai… Mais je n’ai pas de pote ici… Et je suis très excité…- Je comprends bien… Moi aussi… Une furieuse envie de décharger avec un homme… Mais tu ne devrais pas… Pas ici… Tu prends trop de risque… Trop de prédateurs…- Pas seulement apparemment. Vous n’avez pas l’air comme eux…- J’essaie de me tenir… Mais quand je commence à baiser… Je ne peux plus m’arrêter…J’ai éclaté de Ca me semble normal ! Moi aussi ! Quand on commence, il faut aller jusqu’au bout !Nous avons discuté un petit quart d’heure de choses très sexe. Jamais je ne m’étais livré autant, aussi crument, sur mes envies et mes expériences. Et ce que le type m’a raconté était encore plus chaud voire franchement j’ai fini par comprendre. Il me racontait ses expériences bestiales de mec qui tire un coup sans blabla avec des inconnus. Histoire de me dégouter et de me détourner de cette Ca va… J’ai compris. Il ne faut pas que je reste là …- Ni que tu y reviennes… Même si tu as les bourses pleines !- Il faut bien les décharger, pourtant…- Si tu veux on peut se faire une petite branlette vide-couilles avant de partir…Etait-ce de l’hésitation ? Ou de l’excitation ? Toujours est-il qu’après un silence j’ai simplement répondu où ? ».Il m’a entrainé un peu plus loin, au milieu d’un sous-bois plus épais, m’a souri et s’est entièrement désapé. Je suis resté béat d’admiration devant son corps fin et musclé, son ventre plat qui débouchant sur un pubis entièrement épilé sous lequel une superbe verge commençait à s’ Ne me regarde pas comme cela, je vais rougir c’est la pratique régulière du sport qui me permet de me maintenir…-Ouah… Super bien…- Foutu. Je préfère foutu » à conservé »…- Super bien foutu !Il s’est retourné d’un air J’aime bien mes fesses aussi. Qu’en penses-tu ?- Sympa ! Musclées ! Joli cul !- Merci… Si tu as envie d’y pénétrer pour jouer dedans, n’hésites pas !- Euh… Non… Juste une branlette… C’est cela qu’on a dit…- Absolument ! Mais tu as le droit de changer d’avis… Cela étant, si tu veux juste une séance de masturbation, on se contente de cela !- Je préfère…- Pas de problème. C’est ok pour me doutais bien que c’était ok pour lui, à voir un superbe braquemart fin et élégant, d’une vingtaine de centimètres de longueur, maintenant tendu vers moi. Je me suis mis à mon tour à poils. Je bandais tellement dans mon jean que j’ai dû me contorsionner pour le retirer, ce qui l’a fait nous nous sommes branlés, l’un en face de l’autre, nous accompagnement du regard, encouragés par les râles rauques que nous émettions sans il a joui sur moi brusquement, lâchant un petit cri grave en éjaculant une belle quantité de sperme bien chaud et épais. J’ai regardé mon ventre maculé de sa semence, ses yeux exorbités après l’orgasme, sa bouche stupidement ouverte, et je me suis fini sauvagement, jouissant à mon tour sur son sexe et son bas-ventre. Il m’a chaleureusement félicité pour mon orgasme, a mis une main derrière ma nuque et a approché mon visage du sien pour déposer un délicat baiser sur mes lèvres. Encore dans un état second je l’ai laissé faire. Son sourire était Bel orgasme jeune homme ! Bravo ! C’était magnifique à voir ! Et quelle abondance de sperme !Il a alors posé sa main sur son pubis pour étaler ma semence. D’un geste sûr il en a fait de même sur mon ventre, le nettoyant à moitié pour ensuite mélanger nos deux spermes sur son sexe qui débandait à J’aime bien étaler la crème après une bonne éjac… C’est super !- Euh… J’imagine que tu aurais préféré un moment plus… Chaud…- Bien sûr que j’adore sucer et être sucé… Cela aurait été hyper bon de te sentir en moi et de te prendre pour jouir au fond de ton joli petit fion… Mais j’aime bien aussi ces moments plus soft de jouissance partagée. C’est… Totalement impudique ! Délicieusement osé ! Une branlette entre mecs…Ce coup-là c’est moi qui ai souri, ai approché mon visage du sien et ai collé mes lèvres contre les siennes, enfonçant ma langue dans sa bouche pour l’embrasser franchement. Quand sa langue a commencé à s’agiter, je me suis Vicelard, va ! Les vieux sont vraiment des vicieux… Mais j’aime cela !- Et toi, jeune mâle, tu es chaud comme la braise ! Comme je l’étais à ton âge ! Cela me rajeunit de trente ans d’être à poils en érection devant un aussi beau garçon. Merci pour cette séance !- C’est moi qui te remercie ! Belle jouissance !Il a fini de retirer son sperme de ma peau à l’aide de son slip qu’il a utilisé ensuite pour se nettoyer. Il a remis son pantalon sur la peau puis sa chemise, gardant son slip gluant de semence comme un trophée. Je me suis rhabillé à mon tour en silence et nous sommes retournés à nos voitures. Il n’a pas trainé sur le parking, m’offrant en guise d’adieu un - Salut beau garçon ! Merci pour ce bon coup. Mais ne traine plus jamais par ici ! Promis ?- Promis…Nous sommes repartis chacun de notre côté, nous disant bien que cette promesse, les bourses vides, était tenable. Mais pleines… Et en roulant sur la petite route serpentant à travers la forêt, j’ai repensé au gars d’à peu près mon âge que j’avais raté. Cela aurait-il été meilleur ou moins bon qu’avec mon quinqua sympa ? Plus animal, probablement…C’était lui. Le jeune mec que j’avais raté, que j’avais vu s’enfoncer avec un autre type dans la forêt. Ce jeune mec qui venait de m’ouvrir la porte du médecin. Je l’avais instantanément reconnu, me remémorant en une fraction de secondes mon expérience sur le parking de rencontres gay. - Je… Je voudrais voir le docteur LEGENDRE… Il n’est pas là ?- Bonjour ! Non. Il vient de partir pour une intervention qui risque de lui prendre un bout de temps. Mais dites-moi, qu’est ce qui ne va pas ?- Bon… Ce n’est pas grave, je Et bien, vous avez l’air en pleine forme ! Je suis étudiant en médecine. Le docteur LEGENDRE est mon oncle. Je profite des vacances pour mettre en pratique… Sous son contrôle, bien sûr… Mettre en pratique, mettre en pratique, je veux que tu mettes en pratique ! Et à fond en plus…» Ai-je pensé Dites-moi, qu’est ce qui ne va pas ?- Rien. J’ai juste besoin d’un certificat médical de non contre-indication de la course à pied pour faire la run en bois » le weekend prochain. - Oh, et bien cela je peux faire. Juste un examen rapide et une prise de tension. Ce n’est qu’une formalité, je peux te rendre ce service si tu veux !- Je… Pourquoi pas… Mais pour le papier ?- Oh, rien de grave. Je prends une ordonnance de mon oncle. J’imite assez bien sa signature. Personne n’y verra rien. Cela te va ? Tu entres ?Devant son franc sourire, je me suis laissé faire. Il m’a conduit d’un pas ferme dans le bureau du docteur. J’ai posé mon blouson sur un dossier de chaise. Je n’ai pas caché mon amusement de le voir mettre une blouse blanche avant de se retourner vers Quoi ?- La blouse… ce n’est pas un peu trop ?- Non… C’est une question d’hygiène… Mais… On ne s’est pas déjà vu quelque-part ? Ton visage me dit quelque-chose…- C’est possible, oui…- Humm… Je me demande bien où… Enfin… Tu te déshabilles ?Je ne me suis pas fait prier pour retirer mon teeshirt et baisser mon pantalon. Le jean aux chevilles, je me suis assis sur la table d’examen pour défaire les lacets de mes chaussures. Et le laisser me reluquer tranquillement… Quand enfin je n’ai plus été habillé que d’un slip bleu marine très classique, il a commencé à prendre ma 120/80 impeccable ! Pas de problème de tension. Tu m’as l’air d’avoir un cœur en pleine forme !- Oh, il n’y a pas que le cœur… Je me sens en parfaite santé, en pleine possession de tous mes moyens !- Je te le souhaite ! Laisse-moi écouter tes poumons. Inspire et expire largement !Le froid du stéthoscope m’a fait frémir. Il a souri. Tranquillement il est passé sur mon thorax puis dans mon dos, me demandant de me suis exécuté. Il a à nouveau écouté mes poumons. Puis il a palpé mon ventre en posant ses deux mains l’une sur l’autre et en appuyant de plus en plus fort. Jusqu’à ce qu’une main, dans un geste furtif, ne caresse ma peau tandis que l’autre poursuivait son examen abdominal. Il a touché l’élastique de mon slip. Je l’ai encouragé d’un sourire. J’ai senti son souffle se raccourcir. Il m’a regardé en repoussant légèrement l’élastique pour explorer la zone entre mon ventre et mon pubis. Je n’ai pas réagi. Il a passé deux doigts sous le tissu, appuyant pour palper je ne sais quoi. - Tout a l’air normal…Ses doigts ont parcouru le haut de mon pubis en passant de l’autre côté, offrant une ouverture béante entre le slip et ma Si mon slip te gêne, on peut l’enlever…Et, immédiatement, joignant le geste à la parole j’ai soulevé mon bassin et fais glisser mon slip le long de mes jambes avant de laisser au bout de la il m’a regardé à nouveau. Effleurant ma verge avec la paume de sa main il a repris ses palpations, son regard passant de mon bas-ventre sans défense à mon visage d’ Rien d’anormal… Non, rien…Et brusquement il a tourné la tête vers moi. J’ai lu dans ses yeux qu’il venait de se souvenir où il m’avait vu. J’ai Je sais… La voiture sur le parking, il y a deux jours… Le jeune gars que j’ai vu en passant avec l’autre mec… C’était toi ?- Oui… C’était bien avec le type ?Il a saisi ma verge de sa main chaude et l’a caressée, accompagnant son déploiement, la décalottant doucement. - De ce côté-là aussi on dirait que tout va bien…- En pleine forme… Comme tu le vois… Mais tu ne réponds pas à ma question as-tu pris ton pied avec le mec ?- Pas mal, oui… Un gars bien chaud. Direct. Comme j’aime…- Vous avez fait quoi ?- Comme toujours dans ces cas-là … On s’est sucé puis enculé. C’était bien…Je bandais maintenant à bloc. Il me branlait doucement. Alors j’ai dégagé une main pour dégrafer maladroitement son pantalon. J’ai bien senti son membre dur comme du bois à travers le tissu. Je l’ai caressé. Il a eu l’air d’aimer. Il m’a laissé à coup il a lâché mon sexe et a ôté le bouton du pantalon qui me résistait. Puis immédiatement a repris en main ma queue. Lentement j’ai fait glisser son pantalon. Il bandait comme un âne dans son boxer, son gland dépassant en haut du vêtement. Encore un geste et son sexe s’est libéré de toute contrainte pendant que j’abaissais le sous-vêtement. Tout de suite je l’ai saisi à pleine main. - Beau morceau ! Tout comme je les aime !- Je te renvoie le compliment… Et comment tu les aimes ? Dans quel orifice ?- Humm… Tous… Tous mes orifices… Je serais heureux de le prendre en bouche. Puis…- Puis dans ton petit cul ? Parce que je veux bien te faire plaisir en te laissant me sucer, mais tu vas m’exciter et après… Il faut que je bourre…- ça me va comme programme… J’ai très envie de me faire mettre…J’ai lu un éclair pervers dans ses yeux. Il a lâché ma queue pour ôter sa blouse puis sa chemise. Torse-nu, le pantalon sur les cuisses, il s’est approché de la table. J’ai caressé son ventre imberbe puis joué avec ses poils Ne perdons pas de temps…J’ai attrapé ses boules et les ai délicatement massées. J’avais bien l’intention de prendre mon temps quand il a avancé son bassin et collé son gland gluant contre mes lèvres. Comment refuser un tel présent ? J’ai ouvert la bouche et il m’a moment de pur bonheur. Un gland odorant au goût subtil. Un goût de mâle comme j’en raffole ! Surtout quand ma langue peut jouer à suçoter en bouche un gland bien doux et lisse !Il a repris en main ma verge battant la chamade et a entamé des petits va et vient. Très vite cadencés avec de petits coups de bassin pour butiner mes lèvres. Quel pied ! Etre nu, sans défense, soumis, à se faire branler et coïter la bouche ! Il a tenté de me faire jouer les gorges profondes avant de comprendre que ce n’est pas mon truc. Alors il m’a laissé pomper, sucer, aspirer son gland avec délectation. Il a glissé sa main entre mes cuisses. J’ai écarté les jambes et soulevé mon bassin. Un doigt a vite filé vers ma rondelle pour la pénétrer sans coup férir. Je l’ai laissé me doigter quelques minutes sans cesser ma fellation. Quand il a éloigné son sexe de mes lèvres après avoir retiré son doigt de mon anus, il m’a juste dit - Assieds-toi sur la table, dos contre le mur !Rageusement il s’est débarrassé de ses derniers vêtements pour, à poils, filer vers le bureau de son oncle. Il a ouvert un tiroir et en a aussitôt sorti un préservatif dont il a déchiré l’enveloppe. J’ai souri de la précision du geste. - Et bien ! Ton oncle a toujours une capote à portée de main ?- C’est pour en donner aux jeunes cons qui ne savent pas s’en servir !Il s’est campé devant moi et a posé son gland emballé sur ma rondelle. - Mais ne rigole pas trop vite, tu vas voir ce que tu vas prendre dans le cul !Mon sourire s’est figé. Et s’est transformé en une grimace de douleur quand, d’un coup, sans prévenir, il s’est enfoncé en moi. - Tu rêvais d’un bon coup de queue, tu vas être servi !Aussitôt il s’est retiré à moitié pour s’enfoncer à nouveau, entièrement cette C’est bon, hein ? Tu aimes sentir un braquemart dans ton rectum ?Le souffle court, j’ai eu du mal à Oui… J’aime sentir une queue en moi… Mais laisse à mon cul le temps de s’habituer…Faisant semblant de ne pas comprendre, il a déchainé trois allers et retours Comme cela ? Il y a deux manières de voir. Ou bien tu es une fiotte qui a besoin de délicatesse pour que ton pauvre petit cul ne soit pas trop chahuté. Ou bien tu es un vrai mâle qui n’aime rien tant que de se faire bourrer le cul… Alors ?- …- Alors je crois que tu es un vrai mâle… Accroche-toi !Le salaud a alors enchainé un festival de coups de butoir tous plus appuyés les uns que les autres, transformant mon conduit rectal en cheminée de lave. La douleur, fulgurante au début, s’est peu à peu transformée en une chaleur torride irradiant tout mon corps. Je me suis fait défoncé, bestialement, j’avoue que j’ai aimé cela…Il l’a lu dans mes yeux. La peur, la douleur, la colère même se transformant petit à petit en une transe totale. Mes yeux d’abord fermés en protection du danger se sont rouvert. J’ai lu un sentiment de victoire dans son regard extatique. Et je l’ai défié. L’encourageant à mon tour à me queuter encore et encore, le corps plus souple, les jambes plus écartées. Et la queue de plus en plus dressée…Je crois que c’est quand il m’a vu bander à fond qu’il a cru perdre la bataille. Un nuage noir est passé dans son regard tandis que des étoiles étincelaient dans le mien. Il s’est retiré brutalement d’un coup ; et a arraché d’un geste la capote surchauffée. Il m’a regardé, d’un air de Une éjac… Une éjac faciale… Fini moi avec ta bouche !- Yes sir !J’ai sauté de la table et me suis accroupi devant lui. Mais, par défi, j’ai immédiatement décidé de ne pas le sucer à nouveau. Baissant la tête, je me suis mis à lécher, embrasser et avaler ses grosses boules bien pleines. Un râle de langue a parcouru sa peau boursoufflée. Et progressivement la souffrance anale s’est rappelée à mon bon souvenir. Le salaud m’avait bien défoncé. Le déchirement rectal a irradié tout mon corps d’une sourde douleur. J’ai eu envie de mordre. De lui arracher ses couilles d’un coup de dents. Mais mon respect, mon amour, ma passion de l’intimité masculine m’en a empêché. Alors je me suis focalisé sur ses testicules, le léchant avec acharnement. Il n’a pas résisté longtemps avant de commencer à se branler. Une main a fait pression sur ma tête pour que je poursuive. L’autre se brusquement il a repoussé mon visage. Un dernier coup de poignet, plus appuyé, celui-là . Un énorme flot de sperme a jailli et percuté mes lèvres que j’ai par réflexe refermées. Il a joui de tout son saoul, maculant ma face de son sperme bouillant. Un brusque effluve mâle a réjoui mes poumons pendant que la semence dégoulinait lentement sur ma gorge. Je l’ai regardé s’agiter pour évacuer les dernières gouttes. Tout à son extase, je n’existais plus. Je n’étais que le réceptacle de sa jouissance après avoir été celui de son plaisir…Peu m’importe. J’étais content de moi. Content et toujours aussi excité, ma verge ne débandant a repris ses esprits. M’a regardé en rouvrant ses yeux. M’a Ouah… Tu es super-bon, toi…- Merci. Tu es pas mal aussi…- Attends, laisse-moi t’essuyer. Je t’en ai mis partout !Il a attrapé un mouchoir en papier et m’a essuyé le visage après que je me sois relevé. Sa verge a vite débandé, gluante et flasque. La mienne, toujours raide, est venue heurter son ventre. Il a baissé la tête vers C’est à moi, maintenant…- Tu… Tu es sûr ? Tu ne veux pas que je te finisse à la main ?- Ni avec la main, ni avec les lèvres… J’ai regardé la pièce, faisant un tour d’horizon du bureau Tiens… Assieds-toi sur le bureau, je vais te prendre lu la peur dans son regard. Un sentiment de toute puissance m’a animé. Mais bon, on ne se refait pas. Je suis un gentil bougre, moi…- Rassures-toi, je vais te sodomiser en douceur. C’est comme cela que j’ai du plaisir… Enfiles-moi une capote !Vaincu, il a rouvert le tiroir pour sortir un préservatif d’une grande boite que le médecin avait toujours à portée de main. Il l’a maladroitement déroulé le long de mon éperon impatient. Puis il s’est à moitié couché sur le bureau, laissant une jambe à terre en relevant l’ plus de préambule j’ai posé sa jambe sur mon épaule en même temps que mon gland sur son anus et j’ai poussé d’un coup pour le faire entrer. Il a crié. J’ai souri. Mais ai laissé mon gland en Ca va aller… Ton anus va s’habituer… Je crois que tu n’aimes pas tellement te faire bourrer le cul sauvagement. Tu préfères que j’y aille en douceur pour que ton pauvre petit cul s’habitue à mon épieu… Je n’a pas répondu. J’ai attendu encore un peu puis ai retiré mon sexe avant de l’enfoncer à nouveau. Pendant plusieurs minutes je ne me suis enfoncé à coups de va et vient que jusqu’au gland. Et c’est lui qui, progressivement, son rectum se dilatant, m’a attiré de plus en plus profondément en lui. Enfin, j’étais enfoncé jusqu’à la C’est bon, hein !- Ouais… Comme cela… Pas trop longtemps…- Oh cela, je ne sais pas…Ma locomotive lubrique s’est alors progressivement mise en route, crachant son flot de vapeur, la sonnerie de mon souffle court retentissant joyeusement dans ma tête. J’aurais voulu prendre très lentement de la vitesse pour le besogner longtemps, longtemps… Mais que voulez-vous… La situation, l’odeur, la totale soumission de mon bourreau, l’excitation, la pulsion jouissive…J’ai quand même tenu plus de dix minutes à le niquer sereinement, sourire aux lèvres, en regardant son visage douloureux et son pénis redevenu tout mou et flasque. Et quand j’ai compris que je ne résisterais plus, j’ai entamé une sauvage chevauchée finale qui a failli nous faire tomber du bureau jusqu’à ce que mon éjaculation, feu d’artifice jouissif, n’arrête les mouvements sporadiques de nos corps. Tout cela en éructant un fiotte ! » en guise de vengeance…Deux trois derniers petits coups de queue et je me suis retiré. Je me suis fait violence pour être le premier à parler, reprenant mes esprits pour dominer la Tiens, enlèves-moi donc cette capote pleine et va la jeter. m’a regardé, l’air hagard. Pour, toujours soumis, se laisser glisser au sol et, avec difficulté tant la capote était gluante, me l’ôter, la nouer et l’enfouir dans un mouchoir en Essuies-moi aussi la queue, je suis trempé de sperme… A moins que tu ne veuilles me lécher ?Un mélange de crainte et d’humiliation dans ses yeux. Il s’est exécuté, essuyant très adroitement ma verge en train de flétrir béatement. Quand il a eu posé tous ses déchets, je l’ai encore Tiens, penches-toi en avant pour que je t’essuie les fesses. Je crois que j’y ai laissé quelques traces d’égarement…Je ne l’ai pas laissé réfléchir, prenant un mouchoir et l’aidant à pivoter en faisant pression sur ses hanches. Il s’est penché en avant docilement. J’ai écarquillé les yeux devant le trou béant que formait son anus après le quart d’heure de bourrinage que je lui avais offert. Gêné de ce peu ragoûtant spectacle, j’ai dégluti avec peine. C’était bien la première fois que je regardais de près l’état du trou de balle d’un amant après une sodomie. Je l’ai essuyé rapidement, osant à peine m’aventurer sur sa rondelle. Et je l’ai bruitemment claqué sur les fesses pour le faire se a lu le tourment dans mes Quoi ?- Rien…- Si… Qu’est-ce qu’il y a ?Tout en parlant sa main s’est approchée de son anus. Il a compris. A Je… Tu m’as… Défoncé ?- Ne t’inquiètes-pas. Ton anus s’est ouvert pour laisser ma queue jouer avec ton cul. Mais il a déjà commencé à se refermer. Dans quelques heures, tu ne sentiras plus rien…- Cela, je le sais… Tu n’es quand même pas le premier mec à me sodomiser… Qu’est-ce que tu crois… En fait… J’aime bien le temps d’après, quand ton cul se remet petit à petit, te rappelant du bon moment passé… Tu ne t’es pas mal débrouillé. Merci…- Mouais… De rien… J’ai passé un bon moment. A la fois au recto et au verso…- Moi aussi…Et c’est là qu’il s’est marré. Franchement. Arrêtant de se prendre trop au Bon, ok. Tu as compris. Je suis bien plus actif que passif !- J’avais pigé… Moi j’aime autant l’un que l’autre. C’est comme cela. - On n’y peut rien ! Bon, il faut peut-être qu’on se dépêche un peu, je ne voudrais pas que mon oncle nous surprenne !- Sûr ! Tu me fais mon ordonnance ?Son regard a cherché ses vêtements, en guise de contenance. Le mien lui a montré le fauteuil. Nu, il s’est assis devant le bureau et m’a rempli mon papier. J’ai fait exprès de rester contre lui, ma peau contre la sienne, lui caressant l’épaule. Visiblement les tendresses épidermiques ne sont pas son truc. Il s’est relever brusquement en me tendant l’ Allez, on y va !Nous nous sommes rhabillés en silence. Il a ouvert la fenêtre pour aérer et a enfourné les restes de nos ébats dans sa voulu l’embrasser sur le palier de la porte mais il s’est Allez. Vas-y. Merci pour ce bon Merci à toi. A une prochaine fois peut-être ?- Mouais…Et, évidemment, je ne l’ai jamais revu… J’ai juste pensé à lui pendant les deux jours qui ont suivi, mon rectum continuant à m’irriter…Et je suis passé à autre chose. Ou plutôt à un autre gars, bien plus épanouissant que
JiCé Je suis un poédiseur, Un forgeron de la rime et du son, Je joue avec les mots , Je joue de mes maux, A demi mots, A mots couverts..... C'est l'histoire d'un mec blanc assis sur un banc bleu. Il faisait un temps de chien. Le temps était pluvieux. Et oui, lui aussi il prend de l' degré au thermomètre ! Et la météo annonçait qu'il ferait deux fois plus froid le lendemain ! Quand il était petit ses parents déménageaient souvent. Heureusement, il a toujours retrouvé leurs était tellement petit qu'il faisait des ourlets à ses caleçons. Quand il portait un vêtement de marque, on avait toujours l'impression qu'il l'avait tard, il devint un militant acharné et ne manquait jamais les réunions du Comité de Soutien à Paul Ricard. De même qu'on le voyait souvent dans les boîtes . "ça conserve ! " disait-il ! Piètre musicien, il buvait tellement que c'était pas des reins qu'il avait mais des rognons sauce madère. Lors d'un de ses concerts mémorables dans un mauvais restaurant, où il y avait même des mouches sur le menu, quand il s'est mis à jouer, Steinway s'est déplacé en personne pour rayer son nom du à tout, il avait fait un peu de cinéma mais ses films étaient tellement mauvais qu'ils n'étaient diffusés que dans les avions... parce que les spectateurs ne pouvaient pas quitter la salle !Il était issu d'une famille nombreuse. Son père était fabriquant de préservatifs, trop poli pour être honnête, trop poète pour être honni. Sa mère était une croyante convaincue , pas une fausse sceptique. Il avait une belle femme, un peu rebelle. Mais disait-il " Mieux vaut avoir une femme belle et rebelle, que moche re-remoche ". Sa belle mère était tellement obsédée par la propreté qu'elle mettait du papier journal sous le coucou de l' dit être allé à l'université. D'aucun pense que c'était pour que les autres étudient son cas. Si pour lui Dieu était un vieux monsieur qui aimait se faire prier, il considérait Jésus, comme le premier anar, un baba cool peinard. Non, il n'était pas un cul bénit comme on dit. Et s'il allait toujours aux funérailles des gens c'était plutôt par crainte qu'ils ne viennent pas aux siennesMalgré tout ça il était un homme heureux. N'avait-il pas l'habitude de dire " Pour être heureux, il faut avoir la santé et un bon j'ai toujours eu la santé parce que ma femme avait un bon travail."Ou encore " Si le travail c'est la santé, faudrait le confier aux malades. "Sa maxime Ne jamais remettre à demain ce que tu peux faire après demain !Il avait un petit fils étudiant en médecine. Lorsque celui-ci vient d'être reçu à ses examens de sixième année,tout heureux, il téléphone chez lui, au village, et tombe sur son grand-père. - Papy ! Je suis reçu ! - C'est très bien. Je suis content pour toi. Alors maintenant tu vas revenir faire le docteur ici ? - Pas encore papy. Je vais d'abord faire une spécialité. - Et quelle spécialité, mon petit ? - La médecine du travail. - Ah ! Ils ont enfin reconnu que c'était une maladie.... Ah ! le travail ! mon petit !Si tu veux gagner ta vie, il suffit de si tu veux devenir riche, il faudra trouver autre chose...Et puis il faut pas compter sur les hommes politiques ni sur les prochaines élections. Si les élections devaient vraiment changer les choses, il y a longtemps qu'elles auraient été interdites. La politique tu sais, c'est un véritable torchon et pas de pur coton !Il était aussi le roi de la Salut, comment va ta femme ? demande-t-il à un Décédée . répond l'ami- Et elle est toujours au même cimetière?Des comme celles là il n'en manquait pas jour il raconte à son voisin avoir vu une vieille femme se faire tabasser par 6 hommes. Son voisin lui a demandé s'il y était allé. Il a répondu " Non ils étaient assez nombreux." Il a écopé de quelques mois de prison pour non assistance à personne en il n'a jamais oublié les mots de son père lorsqu'il est entré en prison " Bienvenue mon fils."Et puis un jour il est devenu vieux et comme beaucoup de vieux il avait des insomnies. Alors pour s'endormir, il additionnait les moutons. Mais il disait que pour rester éveiller il lui suffisait de les soustraire ! Il était devenu la mémoire de son village, sauf qu'en vieillissant il ne se souvenait de matin, ses voisins l'ont retrouvé allongé sur son lit, un sourire béat sur ses n'a jamais su de quoi il était mort Pas plus qu'on ne savait de quoi il vivait.
c est l histoire d un mec texte