🎨 Résultat Compatible Avec Une Excrétion Virale Significative

Lesrésultats étaient le décès, le transfert à l'unité de soins intensifs (USI), ≥ 10 jours d'hospitalisation et l'excrétion virale. Résultats: En testant 101 522 échantillons par amplification en chaîne par polymérase (PCR) de 65 993 personnes, nous avons diagnostiqué 6 836 patients (10,4%) , dont 3 737 inclus dans notre cohorte . Dansl’encéphalite à VEB, les patients peuvent présenter de la fièvre, des maux de tête, une raideur de la nuque, une altération de l’état mental, une irritabilité, une léthargie et, rarement, un état comateux. Le virus d’Epstein-Barr doit être considéré comme un agent causal possible pour tout enfant atteint d’encéphalite aiguë, car les résultats cliniques de l Ceprocessus se fait par cycles d’amplification génétique, aussi appelés "CT", une valeur généralement comprise entre 10 et 45. Plus il y a de cycles, plus la charge virale est faible. Et Si Ct entre 19 et 28 inclus : le résultat est déclaré Positif = Excrétion virale significative - Si Ct entre 29 et 37 inclus : le résultat est déclaré Positif faible = Excrétion virale modérée voire Actuellement il n’existe pas de traitement antiviral spécifique pour la prise en charge des pneumopathies sévères à SARS-CoV-2. Le Haut Conseil de sa Ceprogramme permet d'étudier la compatibilité entre le nombre de chiffres significatifs du résultat d'un calcul et l'incertitude des données. Les exemples étudiés sont des calculs d'aires ou de volumes. L'incertitude peut être choisie à 0,5 ou 1 sur le dernier chiffre significatif. ( Ex : 1,24 signifie une valeur comprise entre 1,235 Avecun Odds Ratio supérieur à 1, nos résultats mettaient en évidence que la prescription d’une PCR LDT-EV était significativement associée à une durée de traitement plus longue. Par contre, la période épidémique était moins reliée à sa prescription de même que les résultats étaient significativement moins communiqués avec cette technique (Tableau 16). cesrésultats montrent donc qu’ « une excrétion prolongée de l’adn du virus monkeypox peut se produire dans le sperme des patients infectés pendant des semaines Si la valeur de Ct est 33, la présence d’ARN viral détecté est compatible avec une ≤excrétion virale significative - Si la valeur de Ct est > 33, la présence d’ARN viral détecté est compatible 4Svja5. Représentation artistique du coronavirus SARS-CoV-2 © Fusion Medical Animation on Unsplash Des chercheurs allemands ont mené une analyse virologique détaillée auprès de neuf patients atteints de Covid-19 afin d’évaluer la réplication du SARS-CoV-2, la persistance et l’excrétion du virus, ainsi que la réponse du système immunitaire en anticorps. Autant de données particulièrement attendues par la communauté scientifique pour mieux comprendre la dynamique temporelle de ce nouveau virus et sa contagiosité. Les patients inclus dans cette étude parue en ligne le 1er avril dans la revue Nature faisaient partie d’un cluster agrégat de cas découvert à Munich le 27 janvier dernier, autrement dit de sujets contacts, tous contaminés à partir d’un cas index. Tous les participants ont été traités dans le même hôpital, à Munich. Les tests de détection du génome du virus par la technique RT-PCR ont été effectués par deux laboratoires collaborant étroitement, la plupart des résultats obtenus par un laboratoire étant confirmés par l’autre. L’évaluation virologique détaillée a consisté à analyser des prélèvements recueillis au tout début de l’évolution clinique de ces patients Covid-19 hospitalisés, de même que sur des échantillons biologiques prélevés avant leur admission à l’hôpital. Tous ces patients ont eu un test PCR positif pour le SARS-CoV-2 à partir de prélèvements de gorge ou nasopharyngés. L’équipe conduite par Christian Drosten hôpital universitaire de la Charité, Berlin et Clemens Wendtner Klinikum München-Schwabing, Munich ont tout d’abord montré que ces patients n’avaient pas de co-infection absence d’autres coronavirus humains, de virus grippaux, de rhinovirus, entérovirus, virus respiratoire syncytial, parainfluenza, metapneumovirus, adenovirus, bocavirus. Écouvillons stériles pour prélèvements destinés à la recherche du coronavirus SARS-CoV-2 © Wikipedia Réplication virale active dans les voies respiratoires supérieures Les premiers écouvillonnages revenus positifs l’ont été le lendemain des premiers symptômes qui étaient légers ou annonciateurs de la maladie. Tous les tests diagnostiques ont été positifs entre J1 et J5. Il s’agit d’une différence notable avec ce que l’on observe dans le SRAS syndrome de détresse respiratoire aiguë lors duquel le pic de la charge virale est observé entre J7 et J10. Cette étude montre donc que la charge virale dans la maladie Covid-19 peut atteindre un pic avant J5 et qu’elle est plus de 1000 fois plus importante. Après J5, la charge virale dans les écouvillonnages a diminué, avec un taux de détection d’environ 40 %. La charge virale a été détectable dans les prélèvements de gorge pendant deux semaines, jusqu’à J28. Par ailleurs, la charge virale dans les crachats induits diminue plus lentement que dans les prélèvements de gorge. Ces résultats soulignent l’importance des gestes barrières visant à limiter la diffusion du virus par les gouttelettes. Au vu des résultats obtenus, les chercheurs allemands considèrent qu’ une sortie précoce de l’hôpital avec isolement au domicile du patient pourrait être adoptée pour les patients ayant moins de 100 000 copies d’ARN viral par millilitre de crachats après le dixième jour des symptômes. Ces deux critères prédisent un faible risque d’infectiosité sur la base de la culture cellulaire ». Cultures virales négatives sur les prélèvements après J8 Alors que le virus vivant a été facilement isolé à partir d’échantillons provenant de la gorge et des poumons au cours de la première semaine après le début des symptômes, il n’a plus été détecté dans les cultures de ces échantillons au-delà de J8. Ces résultats diffèrent de ceux obtenus chez des patients atteints de SRAS chez lesquels on ne parvient le plus souvent pas à isoler le coronavirus SARS-CoV. Tout indique donc, dans la maladie Covid-19, la présence d’une réplication active du virus dans les voies respiratoires supérieures. En revanche, le coronavirus n’a pas été isolé dans les échantillons de selles réalisés entre J6 et J12 chez quatre patients. Il se peut que l’échec de l’isolement du virus dans les selles tienne au fait que les patients étaient atteints d’une forme modérée de Covid-19 et qu’un seul patient a présenté une diarrhée intermittente. Par ailleurs, il importe de déterminer si le SARS-CoV-2 peut éventuellement perdre son pouvoir infectieux dans l’environnement intestinal. Les chercheurs indiquent ne pas avoir détecté l’ARN du SARS-CoV-2 dans les échantillons d’urine de même que dans aucun échantillon de sérum. Les biologistes moléculaires ont recherché la présence de petits fragments d’ARN viral ARN sub-génomique témoignant de l’existence d’un cycle de reproduction active du virus dans les cellules infectées. Leurs données montrent effectivement que le SARS-CoV-2 se réplique activement dans la gorge pendant les cinq premiers jours après le début des symptômes. De tels résultats n’ont pas été obtenus à partir des échantillons de selles. Populations virales distinctes dans la gorge et les crachats Par ailleurs, le séquençage du génome complet du virus indique la présence de différents génotypes variants légèrement différents au niveau génétique* dans les prélèvements de gorge et les crachats. Un résultat qui amène à penser qu’il existe une réplication virale indépendante dans la gorge et les poumons. Alors que dans la plupart des cas, les symptômes se sont atténués au bout de la fin de la première semaine, l’ARN viral est resté détectable dans les prélèvements de gorge pendant la deuxième semaine. De même, les échantillons de selles et des crachats sont restés positifs pour l’ARN viral pendant plus de trois semaines chez 6 des 9 patients et ce, malgré une résolution complète des symptômes. Ce taux élevé tranche avec ce que l’on observe lors de l’infection par le coronavirus du MERS syndrome respiratoire du Moyen-Orient au cours de laquelle on trouve moins souvent l’ARN viral. Les auteurs font également remarquer que 4 des 9 patients ont présenté une anosmie perte d’odorat et une agueusie perte du goût. Kit de diagnostic PCR pour le SARS-CoV-2 © Wikipedia La moitié des patients ont des anticorps à J7 La détection des anticorps encore appelée séroconversion a eu lieu à J7 chez 50% des patients. Une semaine plus tard, à J14, les neuf patients avaient développé des anticorps anti-SARS-CoV-2. Tous avaient des anticorps neutralisants, autrement dit capables de neutraliser l’action du virus lorsque celui-ci est mis au contact de cellules cibles en laboratoire. La quantité d’anticorps présente dans le sérum des patients ce que les immunologistes appellent le titre en anticorps ne semblait pas dépendre de l’évolution clinique. Il importe de noter que cette étude n’a pas inclus de patients atteints d’une forme sévère de Covid-19. Des travaux supplémentaires sont donc nécessaires pour évaluer la valeur pronostique qu’aurait une augmentation de la charge virale au-delà de la première semaine. Chacun des 9 patients inclus dans l’étude, cinétique de la charge virale crachats en violet, prélèvements de gorge en jaune, selles en gris, moment de la séroconversion apparition des anticorps plasmatiques. Signes cliniques fièvre, toux/gêne respiratoire dyspnée. Dans chaque graphique, la ligne en pointillés représente la limite de quantification de la technique PCR. Dès que la valeur se situe en dessous de ce seuil, le résultat du test PCR est négatif. En effet, les tests ne sont pas assez précis pour un faible nombre de copies d’ARN viral. Certaines courbes à une phase avancée se situent tout près de la valeur seuil et alternent dans un sens ou dans l’autre, ce qui peut conduire à une interprétation erronée de nouvelle infection réinfection. L’évolution de la charge virale montre qu’il n’y a pas d’élimination abrupte du virus au moment de l’apparition des anticorps séroconversion. La séroconversion en début de deuxième semaine s’accompagne plutôt d’un déclin lent mais régulier de la charge virale dans les crachats. Les graphiques montrent que les résultats du test PCR de détection du génome viral oscillent entre résultats positifs et négatifs dans les derniers jours d’observation de l’étude. Cela correspond-il à une réactivation du virus, celui-ci réapparaissant après être resté caché dans un réservoir cellulaire ? Cette hypothèse est spéculative en l’absence de données permettant de l’étayer, même si l’on connaît des cas de réactivation virale avec guérison résurgence de la varicelle, de maladie à virus Ebola. La possibilité d’une réactivation a été soulevée après que des responsables sud-coréens aient indiqué que 116 patients, considérés comme guéris du Covid-19, et dont on pensait qu’ils s’étaient débarrassés du virus, ont été testés positifs par PCR quelques jours plus tard. Des études épidémiologiques et cliniques sont en cours afin d’étudier ce phénomène rapporté les 11 et 13 avril par le directeur des Centres de contrôle et de prévention des maladies de la Corée du sud KCDC, selon l’agence de presse Reuters. Pourrait-il s’agir d’une réinfection ? Là encore, l’hypothèse apparaît fragile car elle supposerait une absence d’immunité post-infectieuse, autrement dit que l’individu guéri n’ait pas développé de réponse protectrice par anticorps, même transitoire. Très difficile à concevoir. Dernière hypothèse qu’un résultat PCR à nouveau positif après guérison ne témoigne d’un manque de sensibilité du test lorsque la charge virale avoisine la limite de détection de la technique. D’où la nécessité d’avoir recours lors du suivi de ces patients à des méthodes de détection à la fois très sensibles capables de détecter une charge virale très faible et spécifiques ne donnant pas de faux-positifs en cas de co-infection par un autre coronavirus humain tel que NL63, 229E OC43, HKU1. Une étude chinoise, publiée le 30 mars sur MedRiv, a également rapporté avoir observé la réapparition d’une positivité au test PCR après la sortie d’hôpital de patients guéris. Ce phénomène semble concerner des patients jeunes moins de 14 ans ayant présenté une forme légère à modérée de Covid-19. Parmi ces patients avec test PCR à nouveau positif, aucun n’avait développé de forme sévère. Surtout, aucun de ces jeunes patients avec PCR à nouveau détectable n’a par la suite développé des symptômes cliniques ou de progression de la maladie après une nouvelle hospitalisation, soulignent les médecins et chercheurs du Shenzhen Third People’s Hospital. Joseph Eddins © Edwards Air Force Base 100 % des patients ont développé des anticorps un mois plus tard On ne dispose à ce jour que de très peu d’études sur la cinétique de la réponse en anticorps sanguins anti-SARS-CoV-2 chez des patients Covid-19. Publiée le 28 mars dans la revue Clinical Infectious Diseases, une étude chinoise sur 173 patients hospitalisés rapporte des données sérologiques intéressantes. Le pourcentage de patients ayant développé des anticorps atteint 50 % à J11. La moitié des patients ont respectivement développé des anticorps IgM témoins d’une infection récente à J12 et des anticorps IgG immunologulines produites par le système immunitaire après les IgM à J14. Un mois J39 après le début des symptômes, 100 % des patients avaient des anticorps contre le SARS-CoV-2. Comme l’étude allemande parue dans Nature, l’étude chinoise rapporte que l’augmentation du taux des anticorps ne s’accompagne pas toujours de la disparition de l’ARN viral. Il est donc possible que la réponse en anticorps ne suffise pas à elle seule à éliminer le virus, estiment les auteurs. Ne disposant pas d’échantillons de sérum recueillis à une phase plus tardive de la maladie, les chercheurs chinois ignorent combien de temps les anticorps persistent dans l’organisme de patients infectés. Les auteurs indiquent cependant pour la première fois avoir observé une forte corrélation positive entre la sévérité de la maladie et la quantité d’anticorps à partir de la deuxième semaine. Selon eux, ces résultats montrent que le taux total d’anticorps peut être considéré comme un facteur de risque de gravité et ce, indépendamment de l’âge, du sexe masculin et de la présence de comorbidités. Le niveau d’anticorps anti-SARS-CoV-2 au cours de la phase aiguë de la maladie pourrait donc renseigner sur la sévérité de la maladie. Manque de recul sur un nouveau virus émergent Dans la mesure où le SARS-CoV-2 a émergé il y a seulement trois mois, les chercheurs n’ont pas encore assez de recul pour apprécier la réponse immunitaire des patients infectés. Il semble cependant que ceux ayant présenté une forme sévère développent, deux ou trois semaines après l’infection, une immunité qui semble protectrice et pérenne. Il conviendrait cependant de suivre pendant des mois ces patients pour s’assurer de la persistance des anticorps. Il semblerait que des formes mineures ou bénignes de la maladie, notamment uniquement associées à des signes ORL, ne s’accompagnent pas d’une immunité après guérison. Cela pourrait expliquer que ces personnes puissent éventuellement être infectées à deux reprises. Là encore, il ne s’agit que d’une hypothèse non confirmée par la littérature médicale à ce jour. fernandozhiminaicela © Pixabay 30 % des patients développeraient de faibles taux d’anticorps neutralisants Une étude chinoise a été conduite auprès de 175 patients guéris après avoir développé une forme modérée de la maladie Covid-19. Aucun n’avait été admis en unité de soins intensifs. Le 26 février dernier, des échantillons de plasma sanguin ont été recueillis à la sortie de ces patients du Shanghai Public Health Clinical Center, afin de mesurer la quantité des anticorps neutralisants contre le SARS-CoV-2. Ces anticorps spécifiques, capables de bloquer l’infection virale, jouent un rôle majeur dans la disparition du virus dans l’organisme et sont considérés comme une composante clé de la protection ultérieure vis-à-vis de l’infection virale. Cette étude préliminaire, publiée le 6 avril sur le site de prépublication MedRxiv, est la première à évaluer les taux d’anticorps neutralisants dans le plasma de patients Covid-19 guéris. Les chercheurs de l’université Fudan de Shanghai ont observé que le jour de leur sortie d’hôpital, ce qui correspondait à une période comprise entre J10 à J15 après le début de la maladie, ces patients Covid-19 avaient développé des anticorps neutralisants spécifiquement dirigés contre SARS-CoV-2. Cependant, environ 30 % des patients guéris ont développé de très faibles titres en anticorps neutralisants, autrement dit une quantité insuffisante d’anticorps protecteurs, se situant chez 10 patients en-deçà de la limite de détection. En outre, 17 % et 39 % des patients avaient un titre d’anticorps modérément faibles et modérément élevés. Enfin, seulement 14 % des patients guéris de cette cohorte avaient une quantité élevée d’anticorps neutralisants. La durée de la maladie était similaire chez les patients ayant développé de faibles titres d’anticorps neutralisants et les autres. Chez ces patients guéris sans avoir produit un taux élevé d’anticorps neutralisants, d’autres mécanismes immunitaires ont pu contribuer à la guérison, notamment la production de globules blancs spécifiquement dirigés contre le virus lymphocytes T ou des substances produites par le système immunitaire cytokines. Surtout, on ignore si ces patients guéris mais porteurs de faibles titres d’anticorps neutralisants sont à risque élevé de rebond de l’infection virale ou de réinfection. Les chercheurs ont par ailleurs mesuré les taux d’anticorps neutralisants dans le plasma de 47 patients lors d’un suivi de deux semaines après leur sortie d’hôpital. Il s’avère que le titre des anticorps neutralisants collectés dans ces échantillons sanguins ne variaient pas significativement par rapport à ceux mesurés au moment de la sortie de l’hôpital. Ainsi, les patients qui n’avaient pas développé d’anticorps neutralisants lorsqu’ils ont quitté l’hôpital n’en ont pas produits par la suite. Ces résultats ont révélé qu’une proportion de patients infectés par le SARS-CoV-2 guérissent sans développer de titres élevés d’anticorps neutralisants spécifiques du virus », soulignent les chercheurs chinois. Et d’ajouter qu’il conviendrait d’étudier plus avant comment ces patients se sont rétablis sans l’aide d’anticorps neutralisants et s’ils risquent d’être réinfectés par le SARS-CoV-2 ». Une question d’autant plus importante qu’on envisage d’utiliser comme traitement le plasma de patients convalescents. Les chercheurs ont observé que les patients âgés 40-59 ans et 60-85 ans ont significativement plus tendance que les patients jeunes 15-39 ans à développer des taux élevés d’anticorps neutralisants. Il semble donc que l’âge soit un facteur important pour la production de ces anticorps protecteurs. Ces résultats semblent donc indiquer que chez les patients âgés ou moyennement âgés un taux élevé d’anticorps neutralisants soit utile pour se débarrasser du virus et assurer la guérison. Les auteurs font remarquer avoir observé une corrélation négative entre les titres en anticorps neutralisants et les taux de lymphocytes dans le sang. Ainsi, les patients plus âgés et moyennement âgés avaient cette variété de globules blancs en moindre grande quantité que les patients plus jeunes. Ces résultats semblent donc montrer que la réponse en anticorps pourrait jouer un rôle important lorsque la réponse immunitaire cellulaire est compromise ou altérée. Coronavirus SARS-CoV-2. National Institute of Allergy and Infectious Diseases NIAID © Flickr Le virus serait excrété 2 à 3 jours avant les premiers symptômes Un dernier éclairage sur la dynamique temporelle du virus chez des patients infectés est fourni par une étude de chercheurs chinois de l’université de Guangzhou parue le 15 avril dans la revue Nature Medicine. Ces chercheurs ont comparé les données d’excrétion du virus évaluée par la mesure de la charge virale dans les prélèvements de gorge au début des symptômes avec les résultats d’enquêtes épidémiologiques ayant mesuré deux paramètres essentiels, en l’occurrence la durée de la période d’incubation le temps qui sépare l’infection du début des symptômes et l’intervalle sériel temps qui s’écoule avant l’apparition des symptômes chez des cas qui se suivent dans une chaîne de transmission. Leur étude a reposé sur la mesure de la charge virale du début des symptômes jusqu’à J32 chez 94 patients hospitalisés pour une forme modérée de Covid-19 au Guangzhou Eighth People’s Hospital. Par ailleurs, les chercheurs ont modélisé le profil infectieux du virus à partir de données détaillées provenant de 77 paires de patients patient infectant/patient infecté identifiés lors de chaînes de transmission observées en Chine et en dehors de Chine. L’analyse montre que l’infectiosité du virus est maximale au moment ou avant le début des symptômes. Plus précisément, l’infectiosité débute en moyenne 2,3 jours précédant l’apparition des premiers symptômes et connaît un pic environ 0,7 jour avant. Surtout, les chercheurs estiment que la proportion de la transmission du virus au stade symptomatique est de 44 %**. L’infectiosité décroît ensuite au cours des 7 jours qui suivent. Un résultat qui rejoint celui obtenu dans l’étude allemande parue dans Nature Medicine qui a montré que le virus ne pouvait plus être cultivé à partir des prélèvements de gorge au-delà de J8. Reprenant leur analyse en tenant compte d’un taux d’infectiosité qui serait constant dans les jours précédant le début des symptômes, l’infectiosité était toujours maximale entre 0 et 2 jours avant l’apparition des symptômes. Quant à la proportion de la transmission à partir de patients asymptomatiques, elle se situait à un niveau encore plus élevé, compris entre 46 % et 55 %. Un niveau qui correspond à ce qui a été estimé par de précédentes études épidémiologiques à Singapour et à Tianjin nord-est de la Chine. Si la proportion notable de transmission du SARS-CoV-2 au stade où les patients ne présentent pas encore de symptômes devait être confirmée, l’importance des mesures barrières hygiène personnelle reposant d’abord sur le lavage des mains régulier et sur la distanciation sociale s’en trouveraient encore plus renforcées. En effet, selon les chercheurs, si l’on considère qu’un individu infecté en contamine en moyenne 2,5 autres, le traçage des sujets contacts et l’isolement des malades aurait moins de chance d’être efficaces si la transmission du virus survenait dans 30 % des cas à la phase asymptomatique, sauf à la condition que plus de 90 % des contacts puissent être identifiés. Où l’on voit que le traçage des seules personnes présentant des symptômes pourrait ne pas avoir l’efficacité escomptée. Et les auteurs de conclure que des critères plus inclusifs dans le traçage numérique permettant de capter de potentiels événements de transmission 2 à 3 jours avant le début des symptômes devraient être pris en compte de façon urgente pour obtenir un contrôle efficace de l’épidémie ». Marc Gozlan Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook * Polymorphisme sur un nucléotide en position 6446 dans le génome viral variation sur la base située à cet endroit de l’ARN viral. ** Intervalle de confiance 95% 25-69%, la vraie » valeur se situant entre ces deux extrêmes. Pour en savoir plus Wölfel R, Corman VM, Guggemos W, Seilmaier M, Zange S, Müller MA, Niemeyer D, Jones TC, Vollmar P, Rothe C, Hoelscher M, Bleicker T, Brünink S, Schneider J, Ehmann R, Zwirglmaier K, Drosten C, Wendtner C. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature. 2020 Apr 1. doi Amanat F, Stadlbauer D, Strohmeier S, Nguyen T, Chromikova V, McMahon M, Jiang K, Asthagiri-Arunkumar G, Jurczyszak D, Polanco J, Bermudez-Gonzalez M, Kleiner G, Aydillo T, Miorin L, Fierer D, Amarilis Lugo L, Milunka Kojic E, Stoever E, Liu STH, Cunningham-Rundles C, Felgner PL, Caplivski D, Garcia-Sastre A, Cheng A, Kedzierska K, Vapalahti O, Hepojoki J, -Simon V, Krammer F, Moran T. A serological assay to detect SARS-CoV-2 seroconversion in humans. doi An J, Liao X, Xiao T, Qian S, Yuan J, Ye H, Qi F, Shen C, Liu Y, Wang L, Cheng X, Li N, Cai Q, Wang F, Chen J, Liu Y, Wang Y, Zhang F, Fu Y, Tan X, Liu L, Zhang Z. Clinical characteristics of the recovered COVID-19 patients with re-detectable positive RNA test. MedRxiv. Posted March 30, 2020. doi He X, Lau EHY, Wu P, Deng X, Wang J, Hao X, Lau YC, Wong JY, Guan Y, Tan X, Mo X, Chen Y, Liao B, Chen W, Hu F, Zhang Q, Zhong M, Wu Y, Zhao L, Zhang F, Cowling BJ, Li F, Leung GM. Temporal dynamics in viral shedding and transmissibility of COVID-19. Nat Med. 2020 Apr 15. doi Lou B, Li T, Zheng S, Su Y, Li Z, Liu W, Yu F, Ge S, Zou Q, Yuan Q, Lin S, Hong S, Yao X, Zhang X, Wu D, Zhou G, Hou W, Li T, Zhang Y, Zhang S, Fan J, Zhang J, Xia N, Chen Y. Serology characteristics of SARS-CoV-2 infection since the exposure and post symptoms onset. doi To KK, Tsang OT, Leung WS, Tam AR, Wu TC, Lung DC, Yip CC, Cai JP, Chan JM, Chik TS, Lau DP, Choi CY, Chen LL, Chan WM, Chan KH, Ip JD, Ng AC, Poon RW, Luo CT, Cheng VC, Chan JF, Hung IF, Chen Z, Chen H, Yuen KY. Temporal profiles of viral load in posterior oropharyngeal saliva samples and serum antibody responses during infection by SARS-CoV-2 an observational cohort study. Lancet Infect Dis. 2020 Mar 23. pii S1473-30992030196-1. doi Wu F, Wang A, Liu M, Wang Q, Chen J, Xia S, Ling Y, Zhang Y, Xun J, Lu Lu, Jiang S, Lu H, Wen Y, Huang J. Neutralizing antibody responses to SARS-CoV-2 in a COVID-19 recovered 1 patient cohort and their implications. MedRxiv. Posted April 20, 2020. doi Yuan J, Kou S, Liang Y, Zeng J, Pan Y, Liu L. PCR Assays Turned Positive in 25 Discharged COVID-19 Patients. Clin Infect Dis. 2020 Apr 8. pii ciaa398. doi Zhao J, Yuan Q, Wang H, Liu W, Liao X, Su Y, Wang X, Yuan J, Li T, Li J, Qian S, Hong C, Wang F, Liu Y, Wang Z, He Q, Li Z, He B, Zhang T, Fu Y, Ge S, Liu L, Zhang J, Xia N, Zhang Z. Antibody responses to SARS-CoV-2 in patients of novel coronavirus disease 2019. Clin Infect Dis. 2020 Mar 28. pii ciaa344. doi Zou L, Ruan F, Huang M, Liang L, Huang H, Hong Z, Yu J, Kang M, Song Y, Xia J, Guo Q, Song T, He J, Yen HL, Peiris M, Wu J. SARS-CoV-2 Viral Load in Upper Respiratory Specimens of Infected Patients. N Engl J Med. 2020 Mar 19;382121177-1179. doi View PDFIntroductionActuellement, il n’existe pas de traitement antiviral spécifique pour la prise en charge des pneumopathies sévères à SARS-CoV-2. Le Haut Conseil de santé publique français a recommandé l’utilisation du lopinavir/ritonavir LPV/RTV qui a montré une efficacité in vitro contre ce virus. La charge virale atteignant son maximum dans la première semaine de l’infection, l’efficacité de ce traitement est probablement optimale s’il est administré pour des formes de pneumopathies précoces survenant au cours de cette première et méthodesNous avons conduit une étude rétrospective à partir des données du dossier patient d’un hôpital de 350 lits, comparant 2 prises en charge des pneumopathies précoces à SARS-CoV-2 soins de support SDS seuls versus SDS associés à un traitement par LPV/RTV 400 mg/100 mg 2 fois par jour, à l’exclusion de tout autre traitement. Les patients âgés de 18 à 80 ans, hospitalisés pour pneumopathie précoce à SARS-CoV-2 avec PCR positive, en service médecine hors unité de soins intensifs USI, ayant reçu au moins 48 h de traitement par LPV/RTV débuté dans les 10 jours à partir du début des symptômes ont été inclus dans l’analyse. Le critère de jugement principal était le transfert en USI. Les critères de jugement secondaires étaient la mortalité hospitalière, la mortalité à j7, la survenue d’un syndrome de détresse respiratoire aigu, et la durée totale d’ le 2 mars et le 12 avril 2020, 59 patients parmi les 225 26 % hospitalisés pour infection à SARS-CoV-2 étaient éligibles pour l’analyse. Vingt 34 % avaient reçu un traitement par LPV/RTV + SDS et 39 66 % avaient reçu des SDS seuls. Le délai médian entre le début des symptômes et l’hospitalisation était de 4 jours IQR [3–6] et la durée médiane de traitement par LPV/RTV était de 6 jours, IQR [5–7]. Les 2 groupes étaient comparables en termes de comorbidité âge [médiane 56 ans, IQR 46–65], sexe, IMC, diabète, insuffisance cardiaque et respiratoire. Dix patients ont été transférés en USI 3/29 15 % dans le groupe LPV/RTV + SDS et 7/39 18 % dans le groupe traitement par SDS seuls p = 0,37. La mortalité hospitalière était similaire 2 patients dans le groupe SDS seuls et aucun dans le groupe LPV/RTV + SDS, p = 0,4. Nous n’avons pas retrouvé de différence pour les autres critères de jugement. Dans le modèle de régression logistique incluant le sexe, l’âge, et la prise de LPV/RTV, aucun facteur n’était associé de manière significative à une réduction du transfert en de LPV/RTV dans les pneumopathies précoces à SARS-CoV-2 n’a pas diminué significativement le taux de passage en USI ni la mortalité hospitalière. Nos résultats justifient cependant que la stratégie d’administration précoce d’une thérapie antivirale soit évaluée dans le cadre d’un essai clinique randomisé plus by 0View AbstractCopyright © 2020 Published by Elsevier Masson SAS Cette fois, ce n’est pas un obscur internaute sur Facebook ou sur Twitter qui donne son avis, mais un très important chercheur américain parmi les plus prestigieux au monde qui le dit le Docteur Fauci, Monsieur Coronavirus aux USA, mène carrément une campagne de discrédit et de désinformation autour de l’hydroxychloroquine afin de favoriser bien entendu d’autres remèdes bien plus coûteux et qui vont rapporter très gros à Big Pharma. Pourtant, de très nombreuses études – plus de 60 -, ont démontré l’efficacité de la bithérapie du professeur marseillais ! Il suffit de comparer les taux de mortalité des pays qui ont utilisé à grande échelle cette bithérapie avec ceux qui ont décrété son interdiction ! Un enfant de primaire pourrait constater l’énorme différence entre les courbes de mortalité. Le Dr Harvey Risch, un épidémiologiste réputé de Yale, a accusé le Dr Anthony Fauci, membre du groupe de travail de la Maison Blanche sur le coronavirus, de mener une campagne de désinformation » contre le médicament hydroxychloroquine, affirmant que le médicament a montré des résultats encourageants dans le traitement de COVID-19 lorsqu’il est utilisé correctement. L’hydroxychloroquine est au centre d’un débat politique prolongé depuis mars, lorsque le président Trump a cité le médicament comme un traitement possible prometteur pour le nouveau coronavirus. La HCQ est utilisée depuis longtemps par les médecins pour traiter la malaria ainsi que d’autres syndromes comme l’arthrite et le lupus. L’Organisation mondiale de la santé le considère comme un médicament essentiel, alors que près de cinq millions d’Américains en détiennent une ordonnance. Depuis l’approbation spéculative du médicament par Trump, les médias et les responsables médicaux ont, pendant plusieurs mois, fait une promotion agressive de divers essais médicaux qui ont déterminé que le médicament n’est pas efficace pour combattre COVID-19 ; de nombreux commentateurs ont également insisté, malgré les antécédents de sécurité du médicament depuis des décennies, sur le fait qu’il est trop dangereux pour être utilisé pour guérir la maladie. Parmi les critiques de ce médicament, on trouve Fauci. En mars, le directeur de longue date de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses a rejeté les allégations d’efficacité de la HCQ comme étant anecdotiques » et a périodiquement exprimé ce scepticisme au cours de la pandémie. Mardi, lors d’une interview sur Good Morning America », Fauci a encore minimisé le prétendu bénéfice du médicament, affirmant que les essais cliniques dominants écrasants qui ont examiné l’efficacité de l’hydroxychloroquine ont indiqué qu’elle n’est pas efficace pour [traiter] la maladie à coronavirus. Le médicament est la clé pour vaincre le COVID-19 », déclare un expert en maladies infectieuses Risch, cependant, critique vivement l’approche de Fauci pour évaluer l’efficacité du médicament, arguant que des essais et des tests répétés ont montré qu’il est nettement efficace pour traiter le COVID-19 tant qu’il est administré correctement. Risch, professeur d’épidémiologie et directeur du laboratoire d’épidémiologie moléculaire du cancer de Yale, fait pression pour l’utilisation du médicament dans la lutte contre le coronavirus depuis des mois. La semaine dernière, dans un éditorial de Newsweek, il a qualifié le HCQ de la clé pour vaincre le COVID-19», affirmant que son utilisation – en particulier lorsqu’il est administré avec l’un des deux antibiotiques et le supplément nutritionnel de zinc – s’est avérée très efficace» dans le traitement patients atteints de coronavirus à haut risque. Mardi, Risch est allé plus loin, accusant dans une interview avec Just the News que Fauci était en train de mener une campagne de désinformation » dans son opposition à la drogue. Fauci a maintenu une position studieuse selon laquelle seules les preuves d’essais contrôlés randomisés ont une quelconque valeur », a déclaré Risch, et tout ce qu’il appelle anecdotique. » Les essais contrôlés randomisés ont été appelés l’étalon-or» des expériences de recherche clinique; Le mois dernier, Fauci a déploré la rareté» de ces essais concernant les traitements contre le COVID-19. Mais Risch a déclaré que de nombreux autres types d’études ont une valeur pratique significative pour déterminer des cours efficaces de traitement médical. Risch a partagé un article du New England Journal of Medicine de 2017 par l’ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention Tom Frieden, dans lequel l’auteur affirmait que les essais contrôlés randomisés présentaient des limitations substantielles» et que de nombreuses autres sources de données peuvent fournir des preuves valables pour des raisons cliniques. et action de santé publique. Cinq facteurs clés pour la réussite du traitement de la QCS, selon M. Risch Le bureau de Fauci n’a pas répondu aux demandes de commentaires sur les affirmations de Risch concernant l’efficacité du médicament et l’évaluation de Fauci à ce sujet. Risch a fait valoir que, bien que l’hydroxychloroquine ne soit pas un traitement universellement efficace, elle a montré un succès marqué et répété lorsqu’elle est utilisée dans des cas appropriés et à des points appropriés de la progression de la maladie. Les questions cruciales sont a le traitement précoce des b patients à haut risque c les patients ambulatoires avec d HCQ plus zinc, [azithromycine], doxycycline etc. pour e les résultats d’hospitalisation ou de mortalité », a déclaré M. Risch. Le Dr. Fauci, en citant toutes les études sans réserve, s’est étendu sur tous les points a-e ». Risch a déclaré que les opposants à la HCQ ont fait valoir que le médicament ne fonctionne pas sur les patients proches de la mort dans les ventilateurs et donc nous ne pouvons pas l’utiliser sur des patients en meilleure santé dans les milieux ambulatoires ». Pourquoi envisageriez-vous d’invoquer une étude sur les patients gravement malades pour influer sur l’efficacité des patients ambulatoires », a-t-il demandé. M. Risch a fourni à Just the News plusieurs études et rapports qui, selon lui, ont démontré l’efficacité du médicament. Un rapport en provenance de l’Inde au début du mois a déclaré que le médicament semblait efficace pour réduire la virilité de la maladie, les patients qui prenaient des doses plus importantes étant apparemment moins susceptibles de le transmettre à des contacts proches. Un article publié dans Travel Medicine and Infectious Disease le mois dernier a détaillé les expériences de chercheurs de Marseille, en France, qui ont traité plus de 3 100 patients avec une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine. Ce régime de traitement était associé à une diminution du risque de transfert aux soins intensifs ou de décès … une diminution du risque d’hospitalisation ≥10 jours … et une réduction de la durée de l’excrétion virale », ont écrit les chercheurs. Cette étude semble utiliser des patients hospitalisés comme sujets d’essai, mais M. Risch a déclaré que l’établissement fonctionne à la fois comme un service d’hospitalisation et une clinique de jour. Pendant l’étude, il n’était pas légal de prescrire de la HCQ pour les patients externes », a-t-il dit. Donc l’hôpital a admis des patients pour la journée, a fait des examens, etc. et leur a donné les prescriptions de la HCQ, puis ils sont rentrés chez eux. Seul un petit nombre d’entre eux ont été effectivement hospitalisés. Donc en réalité, ils étaient des patients externes ». Des chercheurs au Brésil, quant à eux, ont déclaré que les patients traités à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine avaient moins de chances d’être hospitalisés, en particulier si le traitement était commencé plus tôt. M. Risch a également fait part d’une lettre ouverte écrite fin avril par un médecin du nord de l’État de New York, Vladimir Zelenko, dans laquelle le médecin déclare avoir observé des résultats très positifs » en traitant des patients avec de l’hydroxychloroquine, de l’azithromycine et du zinc. Sur les 405 patients traités avec ce régime, écrit Zelenko, deux sont morts, six ont été hospitalisés et quatre ont été intubés. Dans une lettre universitaire du 20 juillet, M. Risch a finalement cité un total de 12 études qui, selon lui, ont montré une association positive avec l’utilisation de l’HCQ et une amélioration des résultats en matière de mortalité, dont un essai à New York qui a conclu que l’utilisation de l’hydroxychloroquine était associée à une diminution de la mortalité hospitalière ». Risch a déclaré que la pratique consistant à traiter les patients les plus malades avec ce médicament favorise un résultat moins bon pour le médicament ». La preuve est que lorsque vous limitez les études aux cinq conditions décrites dans mon premier courriel, [le médicament] montre des avantages dans ces conditions strictes », a déclaré M. Risch. Les ECR ont indiqué que le médicament n’est pas efficace contre COVID-19 De nombreux essais contrôlés randomisés ont en effet suggéré que l’hydroxychloroquine a peu ou pas d’effet sur le traitement des coronavirus. Une de ces études, dont les résultats ont été publiés le mois dernier, a utilisé un essai randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo à travers les États-Unis et certaines parties du Canada » pour tester si le médicament pouvait ou non fonctionner comme prophylaxie post-exposition ». Bien qu' »aucun effet indésirable grave n’ait été signalé » par les personnes prenant le médicament, l’hydroxychloroquine n’a pas empêché une maladie compatible avec le Covid-19 ou une infection confirmée » lorsqu’elle a été utilisée de cette manière. Ces conclusions semblent contester les affirmations de M. Risch selon lesquelles le médicament est plus efficace pour contrer le COVID-19 lorsqu’il est utilisé précocement, bien que les chercheurs eux-mêmes aient reconnu les limites importantes de leur propre étude Seuls 18 % des personnes classées comme patients COVID dans l’étude ont en fait confirmé ce diagnostic par un test de laboratoire. Étant donné le petit nombre de tests PCR », déclarent les chercheurs à un moment donné, il reste théoriquement possible que la thérapie à l’hydroxychloroquine limite l’infection avérée ». Deux autres études contrôlées randomisées, l’une publiée dans la revue médicale BMJ en mai et l’autre menée par le Nuffield Health System du Royaume-Uni, ont conclu que l’utilisation de l’hydroxychloroquine n’a pas entraîné une probabilité significativement plus élevée de conversion négative que la norme de soins seule » et qu’il n’y avait aucun effet bénéfique de l’hydroxychloroquine » dans les populations de patients étudiées. Notamment, ces deux études ont utilisé des patients qui avaient été hospitalisés pour COVID-19 plutôt que ceux qui se trouvaient aux premiers stades de la maladie ; selon Risch, le médicament est moins efficace dans ces conditions et devrait être administré le plus tôt possible dans la progression de la maladie, en dehors d’un cadre hospitalier. Tout ce que nous voulons, c’est montrer un bénéfice dans ces conditions », a déclaré M. Risch à Just the News. Nous n’avons pas besoin d’utiliser ce médicament à l’hôpital, car le but est de garder les patients hors de l’hôpital ». Just the News 30 juillet 2020 Titre en anglais de l’article original Yale epidemiologist Dr. Fauci running misinformation campaign’ against hydroxychloroquine Traduction avec

résultat compatible avec une excrétion virale significative