🎆 Dieu N Est Pas Un Homme Pour Mentir

Ilest bon de savoir que Dieu a un plan pour chacun d’entre nous. La Parole ne dit pas ici que l’Éternel accomplira le nĂŽtre, mais son plan pour nous. Il y a une grande diffĂ©rence. Je peux avoir un plan, Dieu peut en avoir un autre. Dieu ne garantit pas qu’il va accomplir notre plan, mais il garantit qu’il accomplira le sien pour nous. 11K views, 13 likes, 4 loves, 3 comments, 99 shares, Facebook Watch Videos from Église de Dieu La Source: «Dieu n'est point un homme pour mentir, ni fils d'un homme pour se repentir. Ce qu'Il a dit, Textepour le Vendredi 27 juin La colĂšre de l homme n accomplit pas la justice de Dieu (Jacq. 1:20). Quand on est en colĂšre, prendre le temps de se calmer pour . DIALOGUE ISLAMO CHRETIEN ARABOPHONE. Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. DIALOGUE ISLAMO CHRETIEN 11K views, 13 likes, 4 loves, 3 comments, 99 shares, Facebook Watch Videos from Église de Dieu La Source: «Dieu n'est point un homme pour mentir, ni fils d'un homme pour se SiDieu nous dĂ©clare en Nombres 13:19 qu’ll n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir, que ce qu’Il nous promet Il le rĂ©alise, pourquoi ne mettons-nous pas en Lui notre confiance dans tous les aspects et dĂ©tails de notre vie, au lieu de nous confier aux hommes et aux choses de ce monde pervers, corrompu et tĂ©nĂ©breux? Dieune ment pas ! Jean-Louis Gaillard "Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a dĂ©clarĂ©, ne l’exĂ©cutera-t-il Quiest juif selon le nazisme ? La reconstruction de l'Allemagne passant par la crĂ©ation aryenne « pure », un dĂ©cret fut promulguĂ© en 1933 peu aprĂšs l'accession d'Adolf Hitler au pouvoir.. L’Arierparagraph du 11 avril 1933 divisait la population en aryenne et non-aryenne, ces derniers Ă©tant dĂ©finis comme possĂ©dant au moins un parent ou grand-parent reconnu « juif » [31], c'est VidĂ©oTikTok de Normil Sandy (@normilsandy) : « c'est Dieu qui a commencĂ© đŸ€«đŸ€«đŸ˜€mirak la pa two lwen .il n'est pas un homme pour mentir 🙌 .#ksbloomenfantsdedieu #zafebondye #imparctumgirl #princessededieu #pourtoi #gloireadieu #puissancededieu ». son original. Dimanche7/12/14 DIEU n'est pas un homme pour mentirNombres 23;19 Dn03h1. RÉSURRECTION gr. anastasis, “action de s’élever” ou de “se lever” [de ana, “en haut, de bas en haut”, et de histĂȘmi, “placer debout”]. Dans les Écritures grecques chrĂ©tiennes, ce terme s’applique souvent Ă  la rĂ©surrection des morts. En OsĂ©e 1314, passage des Écritures hĂ©braĂŻques repris par l’apĂŽtre Paul I Cor. 1554, 55, il est question de l’abolition de la mort et de la dĂ©faite du SchĂ©ol hĂ©b. sheÊŒĂŽl; gr. haĂŻdĂȘs. Le mot sheÊŒĂŽl est traduit dans plusieurs versions par “tombe” ou “fosse”, et il dĂ©signe le lieu oĂč vont les morts Gen. 3735; I Rois 26; Eccl. 910. Comme en tĂ©moignent son usage dans les Écritures hĂ©braĂŻques et celui de son Ă©quivalent haĂŻdĂȘs dans les Écritures grecques chrĂ©tiennes, il ne dĂ©signe pas une tombe en particulier, mais plutĂŽt la tombe, la sĂ©pulture commune Ă  tous les humains ÉzĂ©ch. 3221-32; RĂ©v. 2013; voir HADÈS; SCHÉOL. Rendre le SchĂ©ol impuissant, c’est l’empĂȘcher de retenir ceux qui s’y trouvent, en un mot le vider. Bien entendu, il faut pour cela une rĂ©surrection, c’est-Ă -dire que les morts sortent de leur condition d’inexistence, de leur tombe. PAR JÉSUS CHRIST Ce qui prĂ©cĂšde atteste que la notion de rĂ©surrection n’est pas Ă©trangĂšre aux Écritures hĂ©braĂŻques. NĂ©anmoins, c’est JĂ©sus Christ qui “a Ă©clairĂ© la vie et l’incorruptibilitĂ© grĂące Ă  la bonne nouvelle”. II Tim. 110. Lui-​mĂȘme a dit “Je suis le chemin, et la vĂ©ritĂ©, et la vie. Nul ne vient au PĂšre que par moi.” Jean 146. Effectivement, c’est la bonne nouvelle concernant JĂ©sus Christ qui a rĂ©vĂ©lĂ© comment la vie Ă©ternelle et, mieux, l’incorruptibilitĂ© pour certains deviendraient rĂ©alitĂ©. Lorsqu’il Ă©tait sur la terre, JĂ©sus Christ a ressuscitĂ© des morts Luc 711-15; 849-56; Jean 1138-44. En fait, c’est seulement par lui que la rĂ©surrection en vue de la vie Ă©ternelle est possible. — Jean 526. UNE PARTIE DU DESSEIN DE DIEU QUI NE PEUT MANQUER DE SE RÉALISER S’adressant aux SadducĂ©ens, qui ne croyaient pas Ă  la rĂ©surrection, JĂ©sus Christ a montrĂ© que les Ă©crits hĂ©breux de MoĂŻse dont ils Ă©taient dĂ©tenteurs et auxquels ils prĂ©tendaient ajouter foi, rendaient tĂ©moignage Ă  la rĂ©surrection. Il a expliquĂ© qu’en se disant “le Dieu d’Abraham, et le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob” des hommes qui Ă©taient morts Ă  cette Ă©poque JĂ©hovah, qui est “le Dieu, non pas des morts, mais des vivants”, considĂ©rait bel et bien ces hommes comme vivants parce qu’il avait prĂ©vu de les ressusciter. Par sa puissance, Dieu “fait vivre les morts et ... appelle les choses qui ne sont pas comme si elles Ă©taient”. Paul souligne ce point quand il dĂ©crit la foi d’Abraham. — Mat. 2223, 31-33; Rom. 417. Dieu est capable de ressusciter les morts Pour celui qui a le pouvoir et la force nĂ©cessaires pour crĂ©er l’homme Ă  son image, avec un corps parfait et la capacitĂ© d’exprimer pleinement les qualitĂ©s remarquables implantĂ©es dans la personnalitĂ© humaine, la rĂ©surrection d’un homme ne pose aucun problĂšme insurmontable. Si les scientifiques peuvent utiliser les principes physiques Ă©tablis par Dieu pour conserver des images et des sons sur un magnĂ©toscope, il va de soi que le grand CrĂ©ateur et Souverain de l’univers n’a aucun mal Ă  ressusciter une personne en crĂ©ant un corps nouveau et en le dotant de la mĂȘme personnalitĂ©. Quand il a annoncĂ© que Dieu donnerait Ă  Sara, malgrĂ© son Ăąge, la vitalitĂ© nĂ©cessaire pour donner le jour Ă  un enfant, un ange a soulevĂ© cette question “Y a-​t-​il rien de trop extraordinaire pour JĂ©hovah?” — Gen. 1814; JĂ©r. 3217, 27. LA RAISON D’ÊTRE DE LA RÉSURRECTION La rĂ©surrection n’illustre pas seulement la puissance et la sagesse illimitĂ©es de JĂ©hovah. Elle rĂ©vĂšle aussi son amour et sa misĂ©ricorde, et elle le justifie en montrant qu’il sauvegarde ceux qui le servent I Sam. 26. Comme il dispose du pouvoir de ressusciter, il est en mesure de dĂ©montrer que ses serviteurs lui resteront fidĂšles jusqu’à la mort. Il est ainsi Ă  mĂȘme de rĂ©pondre Ă  cette accusation de Satan “Peau pour peau, et tout ce qu’un homme a, il le donnera pour son Ăąme.” Job 24. JĂ©hovah peut permettre Ă  Satan d’aller jusqu’au bout, au point mĂȘme de tuer certains fidĂšles dans l’espoir de confirmer ses fausses accusations Mat. 249; RĂ©v. 210; 611. Le fait que les serviteurs de JĂ©hovah sont disposĂ©s Ă  donner leur vie pour son service atteste qu’ils ne sont pas animĂ©s par des considĂ©rations Ă©goĂŻstes, mais par l’amour, comme en tĂ©moigne le cas de Job Job 275. Cela prouve Ă©galement qu’ils reconnaissent en lui le Tout-Puissant, le Souverain de l’univers et le Dieu d’amour qui est capable de les ressusciter. Cela dĂ©montre encore qu’ils tĂ©moignent un attachement exclusif Ă  JĂ©hovah pour ses qualitĂ©s merveilleuses, et non pour quelque motif Ă©goĂŻste tĂ©moin les exclamations de ses serviteurs consignĂ©es en Romains 1133-36; RĂ©vĂ©lation 411; 712. La rĂ©surrection est aussi un moyen par lequel JĂ©hovah veillera Ă  ce que son dessein vis-Ă -vis de la terre, tel qu’il avait Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© Ă  Adam, se rĂ©alise. — Gen. 128. Un miracle nĂ©cessaire au bonheur de l’homme Si la rĂ©surrection des morts est une faveur immĂ©ritĂ©e de la part de Dieu, elle n’en est pas moins nĂ©cessaire au bonheur des hommes et Ă  la rĂ©paration de tous les dommages, de toutes les souffrances et de toute l’oppression dont le genre humain a souffert. Toutes ces choses sont autant de consĂ©quences de l’imperfection, de la maladie, mais aussi des guerres, des meurtres et d’autres atrocitĂ©s que les mĂ©chants ont commis, Ă  l’instigation de Satan le Diable, pendant la quasi-totalitĂ© des 6000 ans qu’a durĂ© l’histoire humaine. Nous ne pourrions ĂȘtre totalement heureux si nous ne croyions pas Ă  la rĂ©surrection. L’apĂŽtre Paul le reconnaĂźt en ces termes “Si c’est dans cette vie seulement que nous avons espĂ©rĂ© en Christ, nous sommes les plus Ă  plaindre de tous les hommes.” — I Cor. 1519. DEPUIS QUAND L’HOMME ESPÈRE-​T-​IL EN LA RÉSURRECTION? AprĂšs que le pĂ©chĂ© eut fait encourir la mort Ă  Adam et, par voie de consĂ©quence, Ă  tous ses futurs descendants, Dieu a dit au serpent “Je mettrai une inimitiĂ© entre toi et la femme, et entre ta postĂ©ritĂ© et sa postĂ©ritĂ©. Il te meurtrira Ă  la tĂȘte et tu le meurtriras au talon.” — Gen. 315. La fin de celui qui a causĂ© la mort JĂ©sus a dĂ©clarĂ© un jour aux pratiquants du judaĂŻsme qui s’opposaient Ă  lui “Vous venez, vous, de votre pĂšre, le Diable, et vous voulez accomplir les dĂ©sirs de votre pĂšre. Ce fut un homicide quand il commença, et il n’a pas persistĂ© dans la vĂ©ritĂ©, parce qu’il n’y a pas de vĂ©ritĂ© en lui.” Jean 844. Comme cela ressort de ces paroles, c’est le Diable qui a parlĂ© par l’entremise du serpent. Ce personnage s’est comportĂ© en homicide dĂšs qu’il a commencĂ© Ă  mentir, Ă  calomnier. Dans la vision qu’il a donnĂ©e plus tard Ă  Jean, JĂ©sus Christ a rĂ©vĂ©lĂ© que Satan le Diable Ă©tait aussi “le serpent originel”. RĂ©v. 129. Satan a commencĂ© Ă  exercer son emprise sur les hommes quand il a incitĂ© leur ancĂȘtre commun, Adam, Ă  se rebeller contre Dieu. Ainsi, dĂšs la premiĂšre prophĂ©tie de GenĂšse 315, JĂ©hovah donnait l’espoir que ce serpent serait Ă©crasĂ© voir Romains 1620. Non seulement celui-ci serait meurtri Ă  la tĂȘte, mais encore toutes ses Ɠuvres seraient dĂ©molies, dĂ©truites ou dĂ©faites I Jean 38, MN; JĂ©; Maredsous. Pour que cette prophĂ©tie se rĂ©alise, il faut que soit dĂ©faite’ la mort inaugurĂ©e par Adam. Pour cela, il est nĂ©cessaire que les descendants d’Adam qui sont allĂ©s au SchĂ©ol HadĂšs, Ă  cause du pĂ©chĂ© originel dont ils ont hĂ©ritĂ© les consĂ©quences, en sortent par une rĂ©surrection. — I Cor. 1526. La libĂ©ration passe par la rĂ©surrection L’apĂŽtre Paul a dĂ©crit la situation que Dieu a laissĂ© se dĂ©velopper aprĂšs la chute de l’homme et la raison pour laquelle il l’a permise “Car la crĂ©ation, dit-​il, a Ă©tĂ© soumise Ă  la futilitĂ© [tous Ă©tant nĂ©s dans le pĂ©chĂ© et dans la perspective de la mort], — non de son plein grĂ© [les enfants d’Adam sont venus au monde dans cette situation, bien qu’ils ne l’aient pas voulu et qu’ils n’aient eu aucune part Ă  l’acte d’Adam], mais Ă  cause de celui [Dieu] qui [dans sa sagesse] l’a soumise, — en raison de l’espĂ©rance que la crĂ©ation elle aussi sera libĂ©rĂ©e de l’esclavage de la corruption pour jouir de la libertĂ© glorieuse des enfants de Dieu.” Rom. 820, 21; Ps. 515. Pour voir se rĂ©aliser cet espoir de libertĂ© glorieuse, il faut que les morts ressuscitent, qu’ils soient affranchis de la mort et de la tombe. Ainsi, en promettant la venue d’une “postĂ©ritĂ©â€ qui Ă©craserait la tĂȘte du serpent, Dieu a placĂ© une espĂ©rance prodigieuse devant l’homme. — Voir POSTÉRITÉ. Le fondement de la foi d’Abraham Le rĂ©cit biblique atteste que lorsqu’il a tentĂ© d’offrir son fils Isaac en sacrifice, Abraham croyait que Dieu Ă©tait capable de ressusciter les morts et qu’il entrait dans son dessein de le faire. Du reste, selon HĂ©breux 1117-19, il a bel et bien reçu Isaac d’entre les morts, “et ce fut une illustration”. Gen. 221-3, 10-13. Si Abraham croyait Ă  la rĂ©surrection, c’est parce que Dieu lui avait promis une “postĂ©ritĂ©â€. Gen. 315. De plus, Sara et lui-​mĂȘme avaient dĂ©jĂ  vĂ©cu un miracle comparable Ă  une rĂ©surrection quand Dieu avait ranimĂ© leurs facultĂ©s procrĂ©atrices Gen. 189-11; 211, 2, 12; Rom. 419-21. Le patriarche Job a fait preuve d’une foi semblable quand il a dit, du fond de sa douleur “Ah! si tu me cachais dans le SchĂ©ol ..., si tu me fixais un dĂ©lai et te souvenais de moi! Si un homme valide meurt, peut-​il revivre? ... Tu appelleras, et, moi, je te rĂ©pondrai. Tu languiras aprĂšs l’Ɠuvre de tes mains.” — Job 1413-15. “Une meilleure rĂ©surrection” À propos des fidĂšles du passĂ© Paul Ă©crit “Des femmes ont reçu leurs morts par rĂ©surrection; mais d’autres hommes ont Ă©tĂ© torturĂ©s parce qu’ils n’acceptaient pas de libĂ©ration moyennant quelque rançon, afin d’aboutir Ă  une meilleure rĂ©surrection.” HĂ©b. 1135. Ces hommes ont montrĂ© leur foi dans la rĂ©surrection, car ils savaient que leur vie dont ils jouissaient en ce temps-​lĂ  n’était pas la chose la plus importante. La rĂ©surrection qu’eux et d’autres attendaient viendrait par l’entremise de Christ, mais aprĂšs que celui-ci aurait Ă©tĂ© ressuscitĂ© et qu’il se serait prĂ©sentĂ© devant son PĂšre, au ciel, muni de la valeur de son sacrifice rĂ©dempteur. En effet, par cet acte JĂ©sus a rachetĂ© le droit Ă  la vie du genre humain, de sorte qu’il est devenu, en puissance, “PĂšre Ă©ternel”. HĂ©b. 911, 12, 24; És. 96. Il est “un esprit donnant la vie”. I Cor. 1544, 45. Il a “les clĂ©s de la mort et de l’HadĂšs [SchĂ©ol]”. RĂ©v. 118. Ayant dĂ©sormais le pouvoir de donner la vie Ă©ternelle, il peut en temps voulu opĂ©rer une “meilleure rĂ©surrection”, une rĂ©surrection qui peut dĂ©boucher sur la vie Ă©ternelle. Ceux qui en profiteront ne seront pas condamnĂ©s Ă  mourir Ă  nouveau. S’ils obĂ©issent, ils pourront continuer Ă  vivre. LA RÉSURRECTION CÉLESTE JĂ©sus Christ est appelĂ© “le premier-nĂ© d’entre les morts”. Col. 118. C’est le premier qui ait Ă©tĂ© ressuscitĂ© en vue de la vie Ă©ternelle. Il a Ă©tĂ© ressuscitĂ© “dans l’esprit”, pour la vie cĂ©leste I Pierre 318. En fait, il a reçu une forme de vie et une position plus Ă©levĂ©es que celles qu’il avait eues dans les cieux avant de venir sur la terre. Dieu lui a en effet accordĂ© l’immortalitĂ© et l’incorruptibilitĂ©, ce dont aucune crĂ©ature de chair ne peut jouir, de sorte qu’il est “devenu plus haut que les cieux” et que seul Dieu lui est supĂ©rieur HĂ©b. 726; I Tim. 614-16; Phil. 29-11; Actes 234; I Cor. 1527. C’est JĂ©hovah lui-​mĂȘme qui l’a ressuscitĂ©. — Actes 315; 530; Rom. 424; 109. Toutefois, pendant quarante jours Ă  compter de sa rĂ©surrection JĂ©sus est apparu Ă  ses disciples en diverses occasions dans divers corps de chair, tout comme des anges Ă©taient apparus Ă  des hommes des temps anciens. À l’instar de ces messagers cĂ©lestes, il pouvait former et dĂ©sintĂ©grer de tels organismes physiques Ă  volontĂ© afin de fournir des preuves visibles de sa rĂ©surrection Mat. 288-10, 16-20; Luc 2413-32, 36-43; Jean 2014-29; Gen. 181, 2; 191; JosuĂ© 513-15; Juges 611, 12; 133, 13. Ses nombreuses apparitions, notamment celle qui a eu lieu devant plus de cinq cents personnes, ont dĂ©montrĂ© Ă  l’évidence la rĂ©alitĂ© de sa rĂ©surrection. — I Cor. 153-8; 1221. La rĂ©surrection des “frĂšres” du Christ Dieu a promis aux “frĂšres” de JĂ©sus, Ă  ceux qui le suivent pas Ă  pas, qui sont “appelĂ©s, et Ă©lus, et fidĂšles”, et qui ont Ă©tĂ© engendrĂ©s de l’esprit pour ĂȘtre “enfants de Dieu”, une rĂ©surrection semblable Ă  celle de leur Seigneur RĂ©v. 1714; Rom. 65; 815, 16; HĂ©b. 211. L’apĂŽtre Pierre Ă©crivait Ă  ses frĂšres chrĂ©tiens “BĂ©ni soit le Dieu et PĂšre de notre Seigneur JĂ©sus Christ, car, selon sa grande misĂ©ricorde, il nous a donnĂ© une nouvelle naissance, pour une espĂ©rance vivante, grĂące Ă  la rĂ©surrection de JĂ©sus Christ d’entre les morts, pour un hĂ©ritage incorruptible, immaculĂ© et inflĂ©trissable. Il vous est rĂ©servĂ© dans les cieux.” — I Pierre 13, 4. Pierre dĂ©crit aussi l’espoir de ces Ă©lus en ces termes “Il nous a donnĂ© volontiers les prĂ©cieuses et trĂšs grandes promesses, pour que par celles-ci vous ayez part Ă  la nature divine.” II Pierre 14. Ces chrĂ©tiens doivent donc changer de nature, renoncer Ă  leur nature humaine pour obtenir la nature “divine”, en recevant un corps spirituel comme celui des personnes qui peuplent les cieux. Il leur faut pour cela mourir d’une mort semblable Ă  celle du Christ, dans l’intĂ©gritĂ©, en renonçant Ă  jamais Ă  la vie humaine, au sang et Ă  la chair. C’est alors qu’ils reçoivent un corps immortel et incorruptible semblable Ă  celui du Christ, par la rĂ©surrection Rom. 63-5; I Cor. 1550-57; II Cor. 51-3. L’apĂŽtre Paul explique que ce n’est pas le corps qui ressuscite. Il compare ce phĂ©nomĂšne Ă  une graine que l’on plante et qui germe, en ce que “Dieu lui donne un corps comme il a voulu”. I Cor. 1535-40. C’est l’ñme, la personne elle-​mĂȘme, qui ressuscite, avec un corps adaptĂ© au milieu dans lequel Dieu la fait vivre. JĂ©sus Christ, pour sa part, a donnĂ© sa vie humaine en sacrifice rĂ©dempteur pour les humains. Citant le Psaume 40, le rĂ©dacteur chrĂ©tien de la lettre aux HĂ©breux lui fait dire, quand il vient “dans le monde” en sa qualitĂ© de Messie de Dieu “De sacrifice et d’offrande tu n’as pas voulu, mais tu m’as prĂ©parĂ© un corps.” HĂ©b. 105. JĂ©sus lui-​mĂȘme a dĂ©clarĂ© “Vraiment, le pain que je donnerai, c’est ma chair pour la vie du monde.” Jean 651. Il s’ensuit que le Christ ne pouvait pas reprendre son corps Ă  la rĂ©surrection, car il aurait ainsi annulĂ© le sacrifice qu’il avait offert Ă  Dieu en faveur des hommes. Par ailleurs, le Christ ne devait plus rĂ©sider sur la terre. Sa “demeure” serait dĂ©sormais au ciel, auprĂšs de son PĂšre qui n’est pas chair, mais esprit Jean 143; 424. En consĂ©quence, JĂ©sus Christ a reçu un corps glorieux, immortel et incorruptible, car “il est le reflet de sa gloire [celle de JĂ©hovah] et la reprĂ©sentation exacte de son ĂȘtre mĂȘme [celui de JĂ©hovah], et il soutient toutes choses par la parole de sa puissance; et aprĂšs avoir effectuĂ© une purification pour nos pĂ©chĂ©s, il s’est assis Ă  la droite de la MajestĂ© dans les hauteurs. Ainsi il est devenu meilleur que les anges [qui sont eux-​mĂȘmes des esprits puissants], dans la mesure oĂč il a hĂ©ritĂ© d’un nom plus excellent que le leur”. — HĂ©b. 13, 4; 1012, 13. Les frĂšres fidĂšles du Christ, qui le rejoignent dans les cieux, renoncent Ă  leur vie humaine. L’apĂŽtre Paul montre qu’ils doivent recevoir de nouveaux corps, transformĂ©s et adaptĂ©s Ă  leur nouveau milieu. Il Ă©crit “Quant Ă  nous, notre citoyennetĂ© existe dans les cieux, d’oĂč nous attendons aussi avec impatience un sauveur, le Seigneur JĂ©sus Christ, qui transformera notre corps humiliĂ© pour qu’il soit rendu conforme Ă  son corps glorieux, selon l’opĂ©ration de ce pouvoir qu’il a.” — Phil. 320, 21. L’époque de la rĂ©surrection cĂ©leste La rĂ©surrection cĂ©leste des cohĂ©ritiers du Christ commence aprĂšs le retour de JĂ©sus Christ dans sa gloire cĂ©leste. À ce moment-​lĂ , le Christ s’intĂ©resse en premier lieu Ă  ses frĂšres spirituels. Il est lui-​mĂȘme qualifiĂ© de “prĂ©mices de ceux qui se sont endormis dans la mort”. Paul prĂ©cise ensuite que chacun est ressuscitĂ© en son rang propre “Christ, les prĂ©mices, puis ceux qui appartiennent au Christ durant sa prĂ©sence.” I Cor. 1520, 23. Ces derniers, qui constituent “la maison de Dieu”, sont jugĂ©s au cours de leur vie chrĂ©tienne, depuis la PentecĂŽte I Pierre 417. Ils constituent “une espĂšce de prĂ©mices”. Jacq. 118; RĂ©v. 144. En leur qualitĂ© de “prĂ©mices”, JĂ©sus Christ et ses frĂšres spirituels sont comparables, celui-lĂ  “Christ, les prĂ©mices” aux prĂ©mices de l’orge qui Ă©taient offertes par les IsraĂ©lites le 16 Nisan, ceux-ci ses disciples, “une espĂšce de prĂ©mices” aux prĂ©mices du blĂ©, qu’on prĂ©sentait Ă  la PentecĂŽte, cinquante jours plus tard. — LĂ©v. 234-12, 15-20. Comme ces fidĂšles chrĂ©tiens oints sont dĂ©jĂ  passĂ©s par le jugement, le retour du Christ marque le temps fixĂ© pour leur donner la rĂ©compense, tout comme celui-ci l’a promis en ces termes Ă  ses onze apĂŽtres fidĂšles la veille de sa mort “Je m’en vais vous prĂ©parer une place. ... Je reviens et je vous accueillerai auprĂšs de moi, afin que lĂ  oĂč je suis, vous soyez, vous aussi.” — Jean 142, 3; Luc 1912-23; voir RĂ©vĂ©lation 1117, 18. “Le mariage de l’Agneau” Ces chrĂ©tiens sont collectivement prĂ©sentĂ©s comme sa “[future] Ă©pouse”. RĂ©v. 219. Ils lui sont promis en mariage, et leur union Ă  lui dans les cieux constitue le “mariage de l’Agneau”. II Cor. 112; RĂ©v. 197, 8. L’apĂŽtre Paul espĂ©rait recevoir la rĂ©surrection Ă  cette Ă©poque-​lĂ  II Tim. 48; voir Jean 639, 54, oĂč il est question de la rĂ©surrection “au dernier jour”. Quand commence la “prĂ©sence” du Christ, il y a encore sur terre un certain nombre de ses frĂšres spirituels qui sont “invitĂ©s au repas du mariage de l’Agneau, Ă  son repas du soir”. Toutefois, ceux d’entre eux qui sont dĂ©jĂ  morts en bĂ©nĂ©ficient avant eux, grĂące Ă  la rĂ©surrection RĂ©v. 199. C’est ce qui est expliquĂ© en I Thessaloniciens 415, 16 “Car voici ce que nous vous disons, par la parole de JĂ©hovah que nous, les vivants, qui survivons jusqu’à la prĂ©sence du Seigneur, nous ne devancerons d’aucune maniĂšre ceux qui se sont endormis dans la mort; parce que le Seigneur lui-​mĂȘme, avec un appel de commandement, avec une voix d’archange et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel, et ceux qui sont morts en union avec Christ ressusciteront d’abord.” — Voir I Corinthiens 1551, 52; RĂ©vĂ©lation 1413. En RĂ©vĂ©lation 205, 6, la rĂ©surrection de ceux qui rĂ©gneront avec le Christ est qualifiĂ©e de “premiĂšre rĂ©surrection”. L’apĂŽtre Paul appelle cette premiĂšre rĂ©surrection “la rĂ©surrection d’entre les morts, ... celle qui doit avoir lieu plus tĂŽt [littĂ©ralement “l’hors-rĂ©surrection, celle d’entre les morts”]”. Phil. 311, MN; Kingdom Interlinear Translation. À propos de cette expression de Paul, un ouvrage Word Pictures in the New Testament, de Robertson, vol. IV, p. 454 dĂ©clare “Il semble que Paul ne pense ici qu’à la rĂ©surrection des croyants, d’entre les morts, d’oĂč le redoublement du ek ou ex [“hors de” ou “d’entre”] tĂȘn exanastasin tĂȘn ek nekrĂŽn. Par ces mots, Paul ne rejette pas l’idĂ©e d’une rĂ©surrection gĂ©nĂ©rale, mais il met l’accent sur celle des croyants.” Dans ses Commentaires sur Philippiens 311, Ellicott Ă©crit “La rĂ©surrection d’entre les morts’; c’est-Ă -dire, comme le contexte le suggĂšre, la premiĂšre rĂ©surrection RĂ©v. xx. 5, Ă  la venue du Seigneur, lorsque ceux qui sont morts en lui se lĂšveront d’abord I Thess. iv. 16 et que les vivants seront emportĂ©s pour le rencontrer dans les nuĂ©es I Thess. iv. 17; voir Luc xx. 35. Seuls les vrais croyants bĂ©nĂ©ficieront de la premiĂšre rĂ©surrection qui, selon toute apparence, prĂ©cĂ©dera la seconde, celle des non-croyants et des incrĂ©dules .... Il ne saurait ĂȘtre question ici d’une rĂ©surrection purement morale selon l’idĂ©e de Cocceius.” L’un des premiers sens du mot exanastasis est l’“action de se lever de son lit le matin”. Ce terme peut donc dĂ©signer une rĂ©surrection qui a lieu tĂŽt, ce qui correspond Ă  la “premiĂšre rĂ©surrection”. En anglais, Rotherham traduit Philippiens 311 comme suit “Si je puis, par n’importe quel moyen, atteindre la rĂ©surrection qui a lieu plus tĂŽt, celle qui est d’entre les morts.” UNE RÉSURRECTION TERRESTRE Pendant que JĂ©sus Ă©tait sur le poteau, l’un des malfaiteurs qui Ă©taient pendus Ă  ses cĂŽtĂ©s a reconnu qu’il ne mĂ©ritait pas ce chĂątiment. AprĂšs quoi il lui a demandĂ© “JĂ©sus, souviens-​toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.” JĂ©sus lui a rĂ©pondu “En vĂ©ritĂ© je te le dis aujourd’hui Tu seras avec moi dans le Paradis.” Luc 2342, 43. Ce qui revenait Ă  lui dire En ce jour sombre oĂč rien ne semble porter Ă  croire que j’aurai jamais un royaume, tu fais montre de foi. Eh bien, quand j’entrerai dans mon royaume, je me souviendrai de toi.’ Il faudrait pour cela que ce malfaiteur ressuscite. Cet homme n’était pas un fidĂšle disciple de JĂ©sus Christ. Il avait commis le mal au point de se rendre coupable de crimes passibles de la peine de mort Luc 2340, 41. Par consĂ©quent, il ne pouvait espĂ©rer avoir part Ă  la premiĂšre rĂ©surrection. Qui plus est, il est mort quarante jours avant que JĂ©sus monte au ciel, donc avant la PentecĂŽte, qui a eu lieu dix jours aprĂšs cette ascension, quand Dieu a oint par JĂ©sus les premiers disciples appelĂ©s Ă  passer par la rĂ©surrection cĂ©leste. — Actes 13; 21-4, 33. Selon JĂ©sus, ce malfaiteur allait ĂȘtre dans le Paradis. Ce mot signifie “parc ou jardin de dĂ©lices”. En GenĂšse 28, la Septante rend l’hĂ©breu gan, “jardin”, par le grec paradĂ©isos. Le paradis oĂč se trouvera le malfaiteur n’est pas le “paradis de Dieu” promis “au vainqueur”, selon RĂ©vĂ©lation 27, car cet homme n’avait pas vaincu le monde avec JĂ©sus Christ Jean 1633. Le malfaiteur ne serait donc pas membre du Royaume cĂ©leste Luc 2228-30, mais il serait un sujet de ce Royaume au temps oĂč ceux qui seraient passĂ©s par la “premiĂšre rĂ©surrection” s’assiĂ©raient sur des trĂŽnes pour rĂ©gner mille ans avec Christ en tant que rois Ă©tablis par Dieu et par le Christ. RÉSURRECTION DE VIE OU DE JUGEMENT JĂ©sus a fait cette promesse rĂ©confortante pour les humains “L’heure vient, et c’est maintenant, oĂč les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui ont prĂȘtĂ© attention vivront .... Ne soyez pas surpris de ceci, car l’heure vient oĂč tous ceux qui sont dans les tombeaux commĂ©moratifs entendront sa voix et sortiront, ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une rĂ©surrection de vie, ceux qui ont pratiquĂ© des choses mauvaises, pour une rĂ©surrection de jugement.” — Jean 525-29. Un jugement de condamnation Dans les paroles prĂ©citĂ©es, le terme “jugement” traduit le grec krisis. Le Dictionnaire grec-​français d’Anatole Bailly Ă©d. 1950, p. 1137 en donne les dĂ©finitions suivantes “I Action ou facultĂ© de distinguer ... II p. suite, action de choisir, choix, Ă©lection ... III action de sĂ©parer, d’oĂč dissentiment, contestation ... IV action de dĂ©cider, d’oĂč 1 dĂ©cision, jugement [“Jour du Jugement”, Mat. 1015] ...; dĂ©cision judiciaire, jugement, condamnation ... 2 ce qui dĂ©cide de quelque chose, issue, dĂ©nouement, rĂ©sultat ... 3 phase dĂ©cisive d’une maladie, crise ... 4 explication, interprĂ©tation d’un songe [Dan. 236, LXX].” Un autre ouvrage de rĂ©fĂ©rence A Greek and English Lexicon to the New Testament, de Parkhurst, p. 342a, Ă©d. 1845 donne comme sens de krisis dans les Écritures grecques chrĂ©tiennes “I Jugement; II Jugement, justice, Matthieu 2323; cf. 1220; III Jugement de condamnation, condamnation, damnation. Marc 329; Jean 524, 29; IV La cause, le motif de la condamnation ou du chĂątiment. Jean 319; V Tribunal des Juifs. Matthieu 521, 22.” Si, en parlant d’une rĂ©surrection de jugement, JĂ©sus pensait Ă  un jugement qui pouvait aboutir Ă  la vie, alors cette rĂ©surrection ne s’opposerait pas Ă  la “rĂ©surrection de vie”. Par consĂ©quent, le contexte indique que le “jugement” annoncĂ© par JĂ©sus est un jugement de condamnation. Les “morts” qui ont entendu JĂ©sus parler JĂ©sus a laissĂ© entendre que lorsqu’il parlait, certains “morts” entendraient sa voix. Pierre a employĂ© une expression analogue quand il a dit “C’est pour cela, en effet, qu’aux morts aussi la bonne nouvelle a Ă©tĂ© annoncĂ©e, afin qu’ils soient jugĂ©s quant Ă  la chair du point de vue des hommes, mais qu’ils vivent quant Ă  l’esprit du point de vue de Dieu.” I Pierre 46. S’il en Ă©tait ainsi, c’est parce que ceux qui entendaient Christ Ă©taient morts dans leurs fautes et leurs pĂ©chĂ©s’ avant d’avoir entendu, mais qu’ils commenceraient Ă  vivre’, spirituellement parlant, grĂące Ă  leur foi en la bonne nouvelle. — Éph. 21; voir Matthieu 822; I TimothĂ©e 56. Jean 529 la fin de la pĂ©riode de jugement Pour bien comprendre Ă  quel moment se situent la “rĂ©surrection de vie” et la “rĂ©surrection de jugement”, il importe de se souvenir de ce que JĂ©sus venait de dire au sujet des vivants qui Ă©taient spirituellement morts voir la section Passer de la mort Ă  la vie’. Nous lisons “L’heure vient, et c’est maintenant, oĂč les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui ont prĂȘtĂ© attention [littĂ©ralement “ceux ayant entendu”] vivront.” V. 525, Kingdom Interlinear Translation of the Greek Scriptures. Manifestement, JĂ©sus parlait, non pas de ceux qui avaient simplement entendu sa voix, mais de ceux qui, aprĂšs l’avoir entendue, l’avaient reçue pour ce qu’elle Ă©tait vraiment. La Bible emploie trĂšs souvent les termes “entendre” et â€œĂ©couter” au sens de “prĂȘter attention” ou d’“obĂ©ir”. Voir OBÉISSANCE. Ce sont donc ceux qui se sont montrĂ©s obĂ©issants qui vivront voir l’emploi qui est fait du mĂȘme terme grec [akouĂŽ] “entendre” ou â€œĂ©couter” en Jean 660; 843, 47; 103, 27. Ils sont jugĂ©s, non sur les actions qu’ils ont accomplies avant d’entendre sa voix, mais sur ce qu’ils font aprĂšs qu’ils l’ont entendue. Selon toute vraisemblance, JĂ©sus Ă©nonçait une idĂ©e analogue quant au temps au sujet de “ceux qui ont fait des choses bonnes” et de “ceux qui ont pratiquĂ© des choses mauvaises”. Il parlait sans doute de leur position Ă  la fin de la pĂ©riode de jugement, considĂ©rant a posteriori les actes que ces ressuscitĂ©s auraient accomplis une fois qu’ils auraient eu la possibilitĂ© d’obĂ©ir ou de dĂ©sobĂ©ir aux “choses qui Ă©taient Ă©crites dans les rouleaux”. C’est seulement Ă  la fin de la pĂ©riode du jugement que l’on saurait qui a fait le bien et qui a fait le mal. “Ceux qui ont fait des choses bonnes” “d’aprĂšs les choses qui Ă©taient Ă©crites dans les rouleaux” recevraient finalement la vie en rĂ©compense. En revanche, “ceux qui ont pratiquĂ© des choses mauvaises” subiraient un jugement de condamnation. C’est ainsi que leur rĂ©surrection s’avĂ©rerait soit une rĂ©surrection de vie, soit une rĂ©surrection de condamnation. Il s’ensuit que les paroles consignĂ©es en Jean 529 ne sont pas Ă  considĂ©rer sous le mĂȘme angle que celles d’Actes 2415, oĂč Paul parle d’une rĂ©surrection “tant des justes que des injustes”. Manifestement, Paul pensait Ă  ceux qui se sont montrĂ©s justes ou injustes au regard de Dieu pendant leur vie. En somme, il s’agit de “ceux qui sont dans les tombeaux commĂ©moratifs”. Jean 528. En Jean 529, JĂ©sus considĂšre ces personnes aprĂšs qu’elles sont sorties des tombeaux commĂ©moratifs au cours du rĂšgne de JĂ©sus Christ et de ses rois et prĂȘtres adjoints, et qu’elles se sont montrĂ©es soit obĂ©issantes, avec pour rĂ©compense la “vie” Ă©ternelle, soit dĂ©sobĂ©issantes, avec pour rĂ©tribution le “jugement” ou la condamnation de Dieu. C’EST L’ÂME ET NON LE CORPS QUI SORT DU SCHÉOL Au vu de l’ensemble des Écritures, il est Ă©vident qu’il n’existe pas d’“ñme immatĂ©rielle” distincte du corps. Quand le corps meurt, l’ñme meurt. JĂ©sus Christ lui-​mĂȘme “a rĂ©pandu son Ăąme jusqu’à la mort”. Pendant que son Ăąme Ă©tait au SchĂ©ol, il n’existait nulle part en tant qu’ñme ou personne És. 5312; Actes 227; voir ÉzĂ©chiel 184; voir ÂME. Par consĂ©quent, la rĂ©surrection ne consiste pas en une rĂ©union de l’ñme et du corps. Cependant, qu’elle soit spirituelle ou terrestre, celui qui en bĂ©nĂ©ficie doit avoir un corps, un organisme, car toutes les personnes, cĂ©lestes ou terrestres, en possĂšdent un. Pour ĂȘtre Ă  nouveau une personne, celui qui est mort doit recevoir soit un corps physique, soit un corps spirituel. La Bible dit “S’il y a un corps physique, il y a aussi un corps spirituel.” — I Cor. 1544. Cela signifie-​t-​il qu’à la rĂ©surrection Dieu reconstitue l’ancien corps tel qu’il Ă©tait au moment de sa mort, ou qu’il en crĂ©e une rĂ©plique absolument identique? Les Écritures rĂ©pondent par la nĂ©gative quand elles disent, au sujet de la rĂ©surrection des frĂšres oints du Christ “Mais, dira quelqu’un Comment les morts doivent-​ils ĂȘtre relevĂ©s? Oui, avec quel genre de corps viennent-​ils?’ Homme dĂ©raisonnable! Ce que tu sĂšmes, toi, n’est pas rendu Ă  la vie si d’abord il ne meurt; et quant Ă  ce que tu sĂšmes, tu sĂšmes non pas le corps qui se dĂ©veloppera, mais un grain tout nu, de blĂ© peut-ĂȘtre ou de l’une quelconque des autres semences; mais Dieu lui donne un corps comme il a voulu, et Ă  chacune des semences son propre corps.” — I Cor. 1535-38. Ceux qui sont ressuscitĂ©s au ciel reçoivent un corps spirituel, car il plaĂźt Ă  Dieu de leur donner un corps adaptĂ© Ă  leur nouveau cadre de vie. Mais quel corps donne-​t-​il Ă  ceux qu’il juge bon de ressusciter sur la terre? Il ne peut s’agir du mĂȘme corps, constituĂ© exactement des mĂȘmes atomes. Quand un homme meurt et qu’il est enterrĂ©, son cadavre se dĂ©compose en Ă©lĂ©ments organiques qui sont absorbĂ©s par la vĂ©gĂ©tation, laquelle peut ensuite servir de nourriture Ă  d’autres personnes. Tant et si bien que les atomes qui composaient le mort se retrouvent dispersĂ©s dans de nombreux organismes. Il est Ă©vident qu’à la rĂ©surrection les mĂȘmes atomes ne peuvent ĂȘtre Ă  la fois dans le mort et dans d’autres personnes. Le corps ressuscitĂ© n’est pas non plus nĂ©cessairement la rĂ©plique exacte du corps de l’individu au moment de sa mort. Si une personne a Ă©tĂ© mutilĂ©e avant sa mort, reviendra-​t-​elle dans le mĂȘme Ă©tat? Il ne serait pas raisonnable de le croire, car elle ne serait peut-ĂȘtre pas en mesure d’entendre et de pratiquer “les choses ... Ă©crites dans les rouleaux”. RĂ©v. 2012. Supposons que quelqu’un soit mort exsangue. Reviendra-​t-​il Ă  la vie sans son sang? Non, car un corps terrestre ne pourrait pas subsister ainsi LĂ©v. 1711, 14. Dieu lui donnera plutĂŽt un corps comme il l’a voulu. Puisqu’il dĂ©sire que les ressuscitĂ©s obĂ©issent aux “choses ... Ă©crites dans les rouleaux”, il devra s’agir d’un corps sain, en pleine possession de ses facultĂ©s. JĂ©sus a bien ressuscitĂ© Lazare dans un corps sain et entier, bien que son cadavre ait commencĂ© Ă  se dĂ©composer [Jean 1139]. C’est ainsi que chacun pourra en toute justice ĂȘtre considĂ©rĂ© comme responsable de ses actes durant la pĂ©riode du jugement. Cependant, les hommes ne seront pas pour autant parfaits quand ils seront ramenĂ©s Ă  la vie. Il leur faudra encore exercer la foi dans la rançon payĂ©e par le Christ et profiter des services sacerdotaux du Christ et de sa “prĂȘtrise royale”. — I Pierre 29; RĂ©v. 510; 206. PASSER DE LA MORT À LA VIE’ JĂ©sus dit de certains qu’ils ont la vie Ă©ternelle’ parce qu’ils entendent ses paroles avec foi et obĂ©issance et qu’ils croient le PĂšre qui l’a envoyĂ©. Au sujet de chacun de ceux-lĂ , il dĂ©clare “Il ne vient pas en jugement, mais il est passĂ© de la mort Ă  la vie. En toute vĂ©ritĂ© je vous le dis l’heure vient, et c’est maintenant, oĂč les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui ont prĂȘtĂ© attention vivront.” — Jean 524, 25. Ceux qui sont dĂ©jĂ  passĂ©s de la mort Ă  la vie’ ne sont pas des gens qui sont rĂ©ellement morts et enterrĂ©s. Au temps de JĂ©sus, tous les humains se trouvaient condamnĂ©s Ă  mort devant Dieu, le Juge de tous. Ceux dont JĂ©sus parlait Ă©taient donc, selon toute vraisemblance, des hommes qui avaient naguĂšre Ă©tĂ© morts dans un sens spirituel Éph. 21, 2, 4-6. C’est Ă  ce genre de “morts” que JĂ©sus devait penser quand il a dit Ă  un Juif qui voulait rentrer chez lui “Continue Ă  me suivre, et laisse les morts enterrer leurs morts.” — Mat. 821, 22. UNE FAVEUR IMMÉRITÉE DE DIEU La rĂ©surrection des humains est vraiment une faveur immĂ©ritĂ©e de la part de JĂ©hovah, car celui-ci n’était pas obligĂ© d’y pourvoir. Son amour pour le monde des hommes l’a incitĂ© Ă  donner son Fils unique pour que des milliards de gens qui sont morts sans vraiment le connaĂźtre aient la possibilitĂ© de le dĂ©couvrir et de l’aimer, et pour que ceux qui l’aiment et le servent dĂ©jĂ  nourrissent cette espĂ©rance et trouvent en elle un encouragement Ă  lui rester fidĂšles, mĂȘme jusqu’à la mort Jean 316. L’apĂŽtre Paul s’est servi de l’espĂ©rance de la rĂ©surrection pour consoler ses frĂšres chrĂ©tiens. — I Thess. 413, 14. La rançon sera appliquĂ©e Ă  tous ceux pour qui elle a Ă©tĂ© payĂ©e Dieu, qui a dĂ©montrĂ© l’ampleur de son amour et de sa faveur immĂ©ritĂ©e en donnant son Fils pour que quiconque croit en lui ait la vie’, n’allait pas limiter les bienfaits de la rĂ©demption Ă  ceux qu’il choisissait et appelait en vue de la vie cĂ©leste Jean 316. En fait, le sacrifice rĂ©dempteur de JĂ©sus Christ n’aurait pas pleinement rempli son rĂŽle s’il s’était appliquĂ© uniquement Ă  ceux qui deviennent membres du Royaume cĂ©leste. Il n’aurait pas atteint son but, car Dieu dĂ©sirait que le Royaume ait des sujets terrestres. JĂ©sus Christ n’est pas seulement Grand PrĂȘtre pour ceux qui sont sous-prĂȘtres avec lui, mais aussi pour le monde des humains qui vivront lorsque les rois et prĂȘtres qu’il s’est adjoints rĂ©gneront Ă  ses cĂŽtĂ©s RĂ©v. 204, 6. JĂ©sus “a Ă©tĂ© Ă©prouvĂ© en tous points comme nous [ses frĂšres spirituels], mais sans pĂ©chĂ©â€. C’est pourquoi il peut compatir aux faiblesses de ceux qui s’efforcent en toute conscience de servir Dieu. Les autres rois et prĂȘtres ont Ă©tĂ© Ă©prouvĂ©s de la mĂȘme maniĂšre HĂ©b. 415, 16; I Pierre 412, 13. Mais pour qui pourraient-​ils ĂȘtre prĂȘtres si ce n’est pour les hommes, y compris les ressuscitĂ©s, pendant le rĂšgne de mille ans et la pĂ©riode du jugement? Les serviteurs de Dieu attendent avec impatience le jour oĂč la rĂ©surrection sera achevĂ©e. Dans la rĂ©alisation de son dessein, Dieu a fixĂ© pour cela un temps prĂ©cis qui justifiera pleinement sa sagesse et sa longanimitĂ© Eccl. 31-8. Son Fils et lui-​mĂȘme, qui sont Ă  la fois capables et dĂ©sireux de ressusciter les morts, y veilleront en temps voulu. CEUX QUI NE SERONT PAS RESSUSCITÉS Il est vrai que par son sacrifice le Christ a rachetĂ© l’ensemble du genre humain. Toutefois, il a lui-​mĂȘme montrĂ© que l’application de ce sacrifice serait limitĂ©e quand il a dit “Le Fils de l’homme est venu, non pas pour ĂȘtre servi, mais pour servir et donner son Ăąme comme rançon en Ă©change de beaucoup.” Mat. 2028. JĂ©hovah Dieu est en droit de refuser une rançon qui lui serait offerte pour quelqu’un qu’il juge indigne. La rĂ©demption du Christ couvre les pĂ©chĂ©s qu’on a pu commettre parce qu’on descend du pĂ©cheur Adam. Toutefois, on peut en plus pĂ©cher volontairement et dĂ©libĂ©rĂ©ment, et mourir pour ce genre de pĂ©chĂ© qui ne saurait ĂȘtre couvert par la rĂ©demption. Le pĂ©chĂ© contre l’esprit saint JĂ©sus Christ a dit que quiconque pĂ©chait contre l’esprit saint ne serait pardonnĂ© ni dans le prĂ©sent systĂšme de choses ni dans celui qui est Ă  venir Mat. 1231, 32. L’individu qui, selon le jugement de Dieu, a pĂ©chĂ© contre l’esprit saint dans le prĂ©sent systĂšme de choses ne retirerait aucun profit d’une rĂ©surrection, puisque ses pĂ©chĂ©s ne lui seront jamais pardonnĂ©s. JĂ©sus a prononcĂ© son jugement contre Judas Iscariote quand il l’a appelĂ© le “fils de la destruction”. La rĂ©demption ne s’applique donc pas Ă  lui, et comme sa destruction est d’ores et dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ©e, il ne sera pas ressuscitĂ©. — Jean 1712. S’adressant aux chefs du judaĂŻsme qui s’opposaient Ă  lui, JĂ©sus a dit “Comment pourrez-​vous fuir le jugement de la GĂ©henne [un symbole de destruction Ă©ternelle]?” Mat. 2333; voir GÉHENNE. Ses paroles indiquent que si ces personnes ne se tournaient pas vers Dieu avant leur mort, elles seraient dĂ©finitivement condamnĂ©es. Dans ce cas, la rĂ©surrection ne leur serait d’aucun profit. Il semble qu’il en sera de mĂȘme de l’“homme qui mĂ©prise la loi”. II Thess. 23, 8; voir HOMME QUI MÉPRISE LA LOI. Au sujet de ceux qui ont connu la vĂ©ritĂ©, qui ont eu part Ă  l’esprit saint et qui cependant sont tombĂ©s, Paul dit qu’il est impossible “de les faire revivre encore une fois en les amenant Ă  la repentance, parce que, pour leur compte, ils attachent Ă  nouveau sur le poteau le Fils de Dieu et l’exposent publiquement Ă  l’ignominie”. La rĂ©demption ne peut plus leur ĂȘtre d’aucun secours. Ils ne seront donc pas ressuscitĂ©s. L’apĂŽtre compare ensuite ces individus Ă  un champ qui ne produit que des Ă©pines et des chardons, qui est rejetĂ© et qui finit par ĂȘtre brĂ»lĂ©. Cela illustre l’avenir qui les attend une destruction complĂšte. — HĂ©b. 64-8. À propos de ceux qui pratiquent le pĂ©chĂ© volontairement aprĂšs avoir reçu la connaissance exacte de la vĂ©rité’, Paul explique encore qu’“il ne reste plus pour les pĂ©chĂ©s aucun sacrifice, mais seulement une sorte d’attente terrible du jugement et une jalousie de feu qui va consumer ceux qui font de l’opposition”. Il prĂ©sente ensuite cette illustration “Quiconque a fait peu de cas de la loi de MoĂŻse meurt sans compassion, sur le tĂ©moignage de deux ou trois. De quel chĂątiment combien plus sĂ©vĂšre ne pensez-​vous pas que sera jugĂ© digne celui qui a piĂ©tinĂ© le Fils de Dieu, qui a estimĂ© comme une chose de valeur ordinaire le sang de l’alliance par lequel il a Ă©tĂ© sanctifiĂ©, et qui a insultĂ© avec mĂ©pris l’esprit de la faveur immĂ©ritĂ©e? ... C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant.” Le jugement est plus sĂ©vĂšre en ce que les individus qu’il frappe ne sont pas seulement tuĂ©s et enterrĂ©s dans le SchĂ©ol, comme ceux qui violaient la loi de MoĂŻse. Ils vont plutĂŽt dans la GĂ©henne, d’oĂč il n’y a pas de rĂ©surrection. — HĂ©b. 1026-31. L’apĂŽtre parle aussi de ceux qui “subiront le chĂątiment judiciaire de la destruction Ă©ternelle de devant le Seigneur et de devant la gloire de sa force, au temps oĂč il viendra pour ĂȘtre glorifiĂ© Ă  propos de ses saints”. II Thess. 19, 10. Ceux-lĂ  ne survivront donc pas pour connaĂźtre le rĂšgne millĂ©naire du Christ. Puisque leur destruction est â€œĂ©ternelle”, ils n’auront pas de rĂ©surrection. Pierre a Ă©crit Ă  ses frĂšres pour souligner qu’en tant que “maison de Dieu” ils sont en train d’ĂȘtre jugĂ©s. Sur quoi il cite Proverbes 1131 LXX pour les mettre en garde contre les dangers de la dĂ©sobĂ©issance. Il laisse ainsi entendre que leur jugement actuel pourrait se solder par une destruction Ă©ternelle, tout comme Paul l’a Ă©crit. — I Pierre 417, 18. "David dit Ă  Nathan J’ai pĂ©chĂ© contre l’Éternel ! Nathan lui rĂ©pondit Eh bien, l’Éternel a passĂ© sur ton pĂ©chĂ©. Tu ne mourras pas. Toutefois, comme par cette affaire tu as fourni aux ennemis de l’Éternel une occasion de le mĂ©priser, le fils qui t’est nĂ© mourra." 2 Samuel Dieu ne vous laisse pas tomber, mĂȘme si vous ĂȘtes Ă  l’origine du problĂšme. Le pĂ©chĂ© a des consĂ©quences. Le prophĂšte Nathan vint auprĂšs de David avec cette parole de l’Éternel David avait pĂ©chĂ© et sa famille en subirait les consĂ©quences. Le pĂ©chĂ© n’affecte pas seulement le pĂ©cheur ! Mais aussitĂŽt aprĂšs nous lisons cette affirmation "L’Éternel a passĂ© sur ton pĂ©chĂ©." Dieu avait dĂ©jĂ  pardonnĂ© Ă  David ! La plupart d’entre nous – si ce cas se produisait dans notre famille – ne pourrions jamais pardonner pareil pĂ©chĂ© par nos propres forces. Dans certaines situations, il faut l’amour surnaturel de Dieu pour pardonner. Une action pour aujourd’hui Si vous rencontrez des problĂšmes dans votre vie dus Ă  vos pĂ©chĂ©s, vos erreurs ou vos mauvais choix, demandez Ă  Dieu de vous pardonner et de remettre les choses en ordre. Il n’en a pas fini avec vous ! Si un ĂȘtre cher vous a fait du tort, laissez l’amour surnaturel de Dieu agir dans votre cƓur ; pardonnez, et Dieu guĂ©rira votre famille. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! Position Accueil Croissance Dieu n’est pas un menteur Il pourvoit Ă  tous nos besoins Description de l'Ă©mission Dieu nous exhorte aujourd’hui sur la base de Philippiens 46 de ne plus nous inquiĂ©ter de rien, mais de lui faire connaĂźtre nos besoins en TOUTES choses par des priĂšres et des supplications, avec des actions de grĂąces. Si Dieu nous promet en Philippiens 419 qu’Il pourvoira Ă  tous nos besoins selon Sa richesse, avec gloire, en JĂ©sus-Christ, pourquoi nous inquiĂ©ter pour notre vie, pour notre avenir? Si Dieu nous dĂ©clare en Nombres 1319 qu’ll n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir, que ce qu’Il nous promet Il le rĂ©alise, pourquoi ne mettons-nous pas en Lui notre confiance dans tous les aspects et dĂ©tails de notre vie, au lieu de nous confier aux hommes et aux choses de ce monde pervers, corrompu et tĂ©nĂ©breux? FrĂšre en Christ, sƓur en Christ, Dieu nous rassure en 2 Corinthiens 98 qu’Il peut nous combler de toutes sortes de grĂąces, afin que, possĂ©dant toujours en toutes choses de quoi satisfaire Ă  tous nos besoins, nous ayons encore en abondance pour toute bonne Ɠuvre. Puisse cette courte vidĂ©o augmenter votre foi afin que vous mettiez en Lui toute votre confiance dans tous les aspects et moindres dĂ©tails de votre vie. 0 0 votes Évaluation de l'article Would love your thoughts, please

dieu n est pas un homme pour mentir